1. Le gantier de Sainte-Florine


    Datte: 02/07/2017, Catégories: f, fh, Inceste / Tabou religion, magasin, fgode, pénétratio, fsodo, initfh, Masturbation

    ... était aussi une réalité ! Dans la vitrine s’étalaient plusieurs modèles de gants pour hommes et femmes dans divers coloris. La finition était très soignée, il devait connaître son métier. Alors qu’elle allait pousser la porte, elle s’entendit interpeller : — Bien le bonjour, Mme de Sainte-Aude, vous voilà donc bien loin de chez vous pour acheter des gants ! Se retournant, elle vit avec stupéfaction le chanoine de Bloissac qui les prunelles pétillantes fouissait déjà dans ses pensées. Balbutiant un peu, elle s’expliqua en s’embrouillant : — Euh ! Bonjour mon père ! Oui, une adresse donnée par une amie… belle confection. À bientôt, mon père ! Sans hésiter, elle poussa l’huis, échappant au regard interrogateur, et aux questions indiscrètes. Une série de petites clochettes tintinnabulèrent au-dessus d’elle, signalant sa présence. Une forte odeur de peau lui sauta aux narines. Une odeur fauve pensa-t-elle. Un homme assez âgé quitta son comptoir dans le fond de la pièce. Elle l’étiqueta de suite dans la soixantaine. Cheveux gris, le visage sans trop de rides, il était beau. Elle remarqua le léger tremblement dont ses mains étaient affligées. — Madame, que puis-je pour vous ? demanda-t-il avec une légère courbette. Mme de Sainte Aude voulait avoir le temps d’examiner le magasin, les vitrines, les étagères, aussi elle déclara. — Je désirerais une paire de gants, cher Monsieur, pouvez-vous me montrer ce que vous avez ?— Pour quel usage ? Gants de soirée, de journée, gants pour se ...
    ... protéger du froid, ou bien des mitaines qui laissent le bout des doigts libres ?— Ce sera plutôt des gants de journée.— Très bien ! Il s’enfonça dans l’obscurité de son atelier. Elle en profita pour regarder partout rapidement, surtout les vitrines fermées à clef, mais rien, rien de ce qu’elle cherchait n’était exposé. De grandes peaux tendues sur des cadres occupaient le magasin. Plus près, une table de coupe avec des patrons occupait une grande partie de l’espace. Il revint avec quelques paires, lui faisant l’éloge de celle-ci par rapport à celle-là, lui expliquant le type coupe, la fente, les fantaisies et les coutures. — Votre travail est magnifique, vous êtes encore un véritable artisan ! Mais…— Mais… quelque chose ne vous plait pas ?— Non, non, ce n’est pas cela, mais une de mes amies m’a donné votre adresse, ce que je cherche est un peu plus particulier.— Ah ! Expliquez-moi ça, je peux toujours essayer de vous satisfaire. Mme de Sainte Aude tiqua avec «le satisfaire ». Alors prenant une profonde inspiration, elle amorça un début d’explication : — Vous voyez, ce que je cherche c’est comme un gant, mais en principe c’est réservé aux… hommes. Et ce n’est pas les doigts que l’on y met…— Humm… je ne vois pas de quoi vous voulez parler Madame, c’est une belle devinette en tout cas ! susurra-t-il. Louise se sentit rougir jusqu’aux oreilles. Il réfléchissait en la regardant. — Attendez, attendez lui dit-il en se frottant le menton, mon fils reprend doucement le commerce, et je ...
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