Avec ma mère, ma sœur et mon pè
Datte: 27/11/2017,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
1Mes parents, ma sœur et moi vivions dans une immense maison de la banlieue bordelaise, avec une piscine impressionnante et ses installations super modernes. Je m’appelle Armand et ma sœur, Adeline qui a mon âge, 25 ans, car nous sommes jumeaux. Nous avions une vie de famille sans histoire. Mon père était très souvent absent, car étant ingénieur en hydraulique, il allait souvent dans les pays du Maghreb pour superviser les travaux touchant à sa spécialité.Ma mère était une magnifique femme de 43 ans, très brune, les yeux étirés comme ceux d’une asiatique, lui donnaient un charme époustouflant. Quand nous profitions de la piscine, je pouvais admirer sa svelte silhouette, et sa poitrine, arrogante, attirait les regards (surtout le mien!) Elle portait toujours des maillots deux pièces, à la limite de la décence. Sa peau était halée naturellement. En résumé c’était une très belle femme, que beaucoup d’hommes auraient souhaité avoir dans leur lit!! Quant à ma sœur, c’était le contraire, très blonde, comme mon père, les cheveux longs, une silhouette élancée, de très longues jambes. Sa minceur contrastait avec la taille de ses nichons, qui étaient plantureux et elle aussi arborait des tenues que je qualifierais d’indécentes, car elle avait souvent les seins à l’air.Mes parents avaient un couple d’amis qui nous rendaient souvent visite. Jacques, le copain de mon père, venait souvent à la maison, sans sa femme. Je le soupçonnais de faire du gringue à ma mère. Pour un homme normal, je ...
... le comprenais fort bien, elle était si jolie!!Un après-midi où j’avais pu me libérer de mes obligations, je rentrais à la maison à l’improviste. Là, Oh! Surprise, je vis la voiture de Jacques, rangée devant le perron. Je descendis de la mienne sans claquer la porte et sur la pointe des pieds, je pénétrais dans la maison. Silence au rez-de-chaussée, car vide. Avec précaution, je montais l’escalier et arrivé en haut, j’entendis des gémissements, des paroles hachées et des soupirs. Je passais discrètement la tête dans l’espace de la porte entrebaillée. Que vis-je? Ma mère à quatre pattes sur le tapis, entièrement nue, prenant appui sur ses bras, la croupe en l’air, la tête baissée, ses longs cheveux lui cachant le visage et l’ami Jacques entrain de la posséder en levrette à grands coups de reins. La foudre tomba à mes pieds, voyant ma mère se faire baiser de cette manière. Je savais Jacques vicieux, mais pas étonné qu’il soit arrivé à ses fins!! Je regardais avidement cette scène et je me mis à bander comme un cheval. Il l’avait saisie par les hanches, les doigts crispés et il lui donnait avec force ce que cette belle femme attendait de lui. Je commençais à me masturber sans retenue. Sentant que le plaisir allait venir, je cessais mon action, pour ne pas éjaculer sur la porte. Je n’avais pas dû être très discret car Jacques tourna la tête vers moi et me vit. A mon grand étonnement, il me sourit, me fit un clin d’œil et donnant un ultime coup de reins, je devinais qu’il se vidait ...