Avec ma mère, ma sœur et mon pè
Datte: 27/11/2017,
Catégories:
Première fois
Inceste / Tabou
... slip de bain. Quant à moi j’étais en boxer mais en voyant ces nichons et ces fesses se balader sous mon nez, je ne puis m’empêcher de commencer à triquer. Bien embarrassé, je me précipitais à l’eau dans une gerbe d’éclaboussures. Adeline me rejoignit immédiatement et m’agrippant aux épaules elle essaya de me faire couler. Je fis semblant de me débattre et en profitais pour lui passer une main entre les cuisses, sois disant pour la soulever. Elle s’arrêta net de bouger et me regarda dans les yeux. J’avais ma main, en coquille, plaquée dans son entrejambes, plus exactement sur son vagin. Je sentis alors combien c’était chaud, cet endroit. On resta là, un moment sans bouger, puis elle se dégagea lentement, toujours en me regardant dans les yeux et me tournant le dos, elle plongea pour s’éloigner de moi. Je bandais maintenant comme un malotru!! Je fis quelques brasses pour débander. Quand le résultat fut atteint, je sortis et rejoignis ma mère, étendue sur le ventre et bronzant. A mon approche, elle releva la tête et me dit:J’ai vu votre manège, à ta sœur et toi, j’ai deviné où tu avais mis ta main, et elle n’a rien dit du tout. Tu veux la baiser aussi? Gros cochon chéri?Je lui frottais doucement le dos, entre les omoplates, puis descendis sur un côté, ce qui me permit de lui caresser le bord d’un nichon. Elle poussa un soupir. Je fis descendre ma main le long de sa colonne vertébrale, jusqu’à la ceinture du slip. Sans vergogne, j’insinuais ma main et lui caressais les fesses. ...
... Elle entrouvrit légèrement les jambes et je puis atteindre son sexe que je trouvais bien humide d’un coup!! Tout en surveillant ma sœur qui s’ébattait dans l’eau, j’introduisis doucement mon majeur et me mis à la masturber très lentement, puis de plus en plus vite. Cela ne dura pas, elle poussa un énorme soupir. Je la sentis frémir de tout son corps, elle resserra les jambes: elle venait de jouir, discrètement certes, mais elle venait de jouir. Je sortis ma main à temps car ma sœur sortait de l’eau, son magnifique corps ondulant vers nous. J’étais à genoux et ne pouvais me lever, because ma queue était en pleine gloire!!Adeline me ditMais qu’est ce que tu fous à genoux?Ne sachant quoi répondre, je me relevais et là, alors: catastrophe. Elle vit ma bite, comme un mât de bateau, qui déformait mon boxer.Elle resta figée comme une statue puis s’approchant de moi et à l’oreille, pour ne pas que notre mère l’entende, me dit:Dis-moi, pourquoi bandes-tu ainsi?Ce disant, elle m’attrapa la pine à pleine main en une sublime caresse tout en me disant:C’est moi qui te fais cet effet ou bien c’est Maman?Je ne répondis pas, mais allais me jeter à l’eau.Après le déjeuner de midi, Adeline nous dit qu’elle sortait en ville et ne rentrerait que vers dix sept heures. Ma mère et moi nous nous sommes regardés, un petit sourire au coin des lèvres, sachant pertinemment ce que nous allions faire pendant tout ce temps de libre. A peine ma sœur partie, j’enlevais mon sweater et le balançais derrière moi. ...