1. Impulsions comateuses (5)


    Datte: 02/07/2017, Catégories: Divers,

    ... ses hanches, il la força à s’asseoir à côté de lui. Le baiser fut intense et dévora l’énergie d’Isabelle. La langue de Théo fit un ballet de douceur caressant la sienne ainsi que ses lèvres. Quand enfin ils se séparèrent, elle remarqua avec plaisir qu’il n’en avait pas profité pour la tripoter. — Je vous aime toi et Laura, et je ferai tout pour rentrer au plus tôt. — Tu es bien mon Théo. Elle se leva et sortit. Karine qui l’attendait à la sortie demanda : — Pourquoi tu pars Isa ? C’est parce que l’on s’est disputées. — Non, non... comme tu l’as dit je suis trempée et ce n’est pas très agréable, murmura-t-elle. Karine ne put résister et dit : — Qu’est-ce qu’il t’a fait pour que tu sois aussi trempée sans jouir. Isabelle bégaya : — Mais... mais... mais pour... pourquoi tu me demandes ça, t’es folle... bon je file. Karine entra dans la chambre bien décidée à dire deux mots à son patient. Elle surprit Théo qui avait sûrement essayé de se lever tout seul et était en train de glisser vers le sol. — Théo qu’est-ce que tu fais ? Dit-elle en l’aidant à se rasseoir. — Je voulais aller aux toilettes, désolé docteur. Karine ne répondit pas car la verge dure de Théo crocheta sa jupe et frotta sa fente. Après des efforts des deux côtés ils réussirent à le remettre dans son lit. — Merci docteur mais il faut vraiment que... — Théo il faut que je te parle, dit-elle, lui coupant la parole. Qu’est-ce que tu as encore fait à ta mère ? Théo eut un petit hochement de tête et glissa sa main ...
    ... sous la jupe de Karine. Elle ne fit rien pour l’arrêter. Il écarta son string et enfonça son majeur et son annulaire dans sa fente. Il fit des va-et-vient puis titilla le clitoris avec son pouce. Elle fit de même que son amie et se pencha et prit appui sur le lit. — Voilà c’est à peu près tout, dit-il en réfléchissant à s’il avait fait plus que cela. Karine avait été surprise par la précision des doigts de son patient. — D’ac... d’accord tu peux... Il accéléra ses mouvements. Elle soupira. — Tu peux arrêter maintenant j’ai bien... Il se releva et l’embrassa à pleine bouche. Elle lui attrapa le poignet mais ne chercha pas à lui retirer la main. Elle sentit sous ses doigts les muscles puissants de ses avant-bras se contracter en rythme avec le majeur et l’annulaire qui la lutinaient. Depuis tout ce temps qu’elle repoussait ses avances alors que toutes les autres prenaient leur pied et même sa mère, alors pourquoi pas elle, pensa-t-elle. — Non, dit-elle en se libérant la bouche. Théo maintenant tu dois arrêter j’ai bien senti ce que tu as fait à ta mère. — Oh non, on finit ! S’exclama-t-il. En plus vous n’en avez plus pour très longtemps. Elle le regarda dans les yeux et vit qu’il ne rigolait pas du tout. — Quand je dis non c’est non ! Elle repoussa sa main ou plutôt il la retira vivement. — Voilà, il faut que tu obéi... Théo l’attrapa dessous les fesses et la tira vers lui de toutes ses forces. Elle fut si surprise qu’elle commença à se défendre que lorsqu’elle fut sur lui à ...
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