1. Je me tape toutes les filles de ma classe (1)


    Datte: 28/11/2017, Catégories: Trash,

    Je m’appelle Théophile. J’ai 19 ans. Je suis élève de BTS en deuxième année, dans un célèbre lycée agricole de Franche-Comté. Je mesure 1 mètre 85 pour 75 kilos de muscles. Passionné de littérature, de numismatique et de glam metal, j’ai toujours eu un succès fou avec les filles de mon entourage. Il fallait dire que j’étais bien membré : 19 centimètres de pur bonheur pour ces mesdames plus habituées aux knacki balls des franc-comtois que de ma poutre de Bamako 100 % alsacienne. Cette rentrée de septembre s’annonçait radieuse. La moitié de ma classe était composée de filles !... Rien que ça !... Face à moi, pendant le cours de Génie Industriel, qui était notre premier cours de l’année 2016, une petite blonde, répondant au doux nom de Léa, posait ses petites fesses bien fermes sur sa chaise en bois brut. Ses cheveux blonds, mi-longs, se balançaient d’avant en arrière pendant qu’elle mordillait son stylo bic avec sa bouche cernée de rouge-à-lèvres. Cette gourgandine à forte poitrine portait pour tout vêtement un débardeur presque transparent, lequel laissait entrevoir un soutien-gorge rose du plus bel effet. Cette petite catin, originaire du Bas-Rhin, avait un accent alsacien peu prononcé, tout du moins suffisamment excitant pour titiller ma verge qui se dressa subitement lorsqu’elle prononça son prénom lors de l’appel réglementaire. Son jean bleu vaguement pailleté moulait son cul de la plus belle des manières, et l’envie de la prendre en levrette, là, telle quelle, à la ...
    ... hussarde, ne manqua pas d’échauffer mon esprit. Mettant de côté mon instinct animal, je sus faire preuve de retenue, et décidais d’attendre la fin de l’heure pour lui faire mes propositions lesquelles, je n’en doutais pas le moins du monde, feraient de cet être chétif et innocent une véritable petite salope fougueuse et déchaînée lorsque je tremperais mon pinceau turgescent dans sa boîte d’aquarelle assoiffée. Lorsque midi sonna, je vins l’aborder sereinement, en lui caressant l’épaule tandis qu’elle rangeait consciencieusement ses affaires, telle l’écolière modèle qu’elle avait l’air d’avoir toujours été. Cette dernière me jeta un regard trouble, vitreux ; ses pupilles semblaient se dilater à la seule vue des pectoraux savamment moulés par mon t-shirt mötley crüe. De ses petits doigts recouverts de vernis à ongles rose, Léa caressa mes abdominaux. — T’es dans quelle chambre, ma jolie ? lui assenais-je. — E 104. Monte avec moi. Et ce fut après ce bref échange vocal que Léa me prit par la main, m’emmenant, sous le regard stupéfait des derniers élèves encore présents dans notre classe, vers sa chambre. Lorsqu’elle monta les escaliers, me dominant de toute sa hauteur, ses fesses dodelinaient fièrement marche après marche, comme si ses parents lui avaient appris à twerker au lieu de marcher. Son parfum de petite prolo tout droit sorti d’Yves Rocher ne fit que décupler l’effervescence de mes sens esbaudis, et ce fut lorsqu’elle ouvrit la porte de ses mains malicieuses, sourire en coin ...
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