1. Je me tape toutes les filles de ma classe (1)


    Datte: 28/11/2017, Catégories: Trash,

    ... et sexe en chaleur, que cette putain me laissa pénétrer dans son jardin secret. Elle ouvrit sa bouche, et cracha quelques filets de bave dans la mienne, avant de me rouler un patin touchant par sa naïveté et son inexpérience. A croire qu’elle n’avait jamais vu le loup, la coquine, pas si bravache que ça !... Je saisis son débardeur presque transparent à deux mains, lorsqu’elle m’arrêta dans mon geste. — Pas maintenant !... me fit-elle Croyant la possibilité de me taper Léa achevée, je fus rassuré lorsqu’elle porta ses doigts frêles à me braguette pour en extirper mon bâton d’amour qui ne demandait qu’à sortir de sa toile de jute. De sa main experte, ma louloute provoqua des va-et-vient parasismiques en vue de provoquer une éruption volcanique sur mon Vésuve rempli de lave. De peur de faire subir à mes morpions le même sort que celui des victimes de Pompéi, je saisis sa tête à deux mains, calant mes ongles longs dans sa chevelure d’or. Je n’eus pas besoin d’ouvrir sa bouche en forçant le passage comme un bœuf : la petite mit en bouche son hors-d’œuvre sans demander son reste. Avec un appétit de boulimique hyperphagique, ma dulcinée goba tout cru ma saucisse de Francfort, caressant ma choucroute pas rasée, espérant en faire jaillir une hypothétique mayonnaise, mais ne provoquant pour tout condiment qu’un long jet de bière chaude et non pétillante entre ses amygdales et son palais puant. — Tu m’as pissé dans la bouche !... T’es dégueulasse !... — C’était pour voir si... — ...
    ... T’inquiète pas, me fit-elle. J’aime ça... Continue !... A quatre pattes comme une chienne, elle ouvrit grand sa bouche afin de se désaltérer. Je pissais à grands jets dans sa bouche intarissable. Elle avalait par grandes gorgées, comme un urinoir, satisfaite d’être réduite à l’état de pissotière. Sans ménagement aucun, j’écartais ses jambonneaux d’Alsacienne nourrie aux bretzels et à la choucroute, et y enfonçais sans préparation mon pénis hypertrophié. Léa poussa un hurlement abominable, à faire pâlir Michael Jackson. Elle était vierge. Qu’à cela ne tienne !... Malgré les effluves nauséabonds de sang de pucelle qui cernaient ma bite comme des mendiants autour d’un millionnaire, je continuais mon grand-œuvre, conservais mon rôle, ma place, et mon rang d’initiateur auprès de cette jeune fille dont la beauté supérieure à celle de ses semblables était en inadéquation totale d’avec son pucelage qui ne cessait de m’étonner. A la douleur de l’effraction de domicile succéda le plaisir du pieu mouvant. Léa était aux anges, et ses gémissements d’actrice porno contrastaient d’avec son visage tendre de première communiante. — Oui !... Vas-y !... Plus profond !... Déchire-moi la chatte !... Fais-moi des enfants !... Remplis-moi de ton foutre fertile, mon bel Apollon !... Fais de moi ta putain, ta traînée !... Je suis une chienne !... Une vraie salope !... Pendant que son tunnel moite de chaleur subissait les assauts répétés de ma voiture-bélier, ma petite ingénue pétait. Pas des petits " ...