En route pour le bout du Monde - Histoires de Sexe

En route pour le bout du Monde

... décharger abondamment dans sa jolie bouche en la sentant avaler aussitôt écrasant mon gland contre son palais. Petit Jésus que c’était bon ! Je lâchai sept ou huit jets de sperme les yeux pleins d’eau et complètement crispé. Elle me suça encore un peu pour bien me vider les couilles et se redressa en s’essuyant la bouche avec un kleenex, la face toute rouge et tout sourire. — Encore un 10/10 ? me demanda-t-elle toute joyeuse après avoir bu une grande gorgée d’eau embouteillée au Japon, faite à partir d’icebergs qu’ils allaient récupérer en bateau près du Groenland. Pas croyables, ces Japonais, et drôle de fille, ma grande bombe. — Ouais ! fis-je la voix enrouée en me la pressant.— Pis, les résultats d’analyse, t’en penses quoi ? demanda-t-elle en m’essuyant la bite cette fois. Encore des petites grimaces de ma part et cela la faisait sourire en plus. — Shit ! A nous suit ! lâchai-je tout à coup.— Quoi ? Par le rétroviseur j’apercevais l’oie sauvage qui volait derrière nous comme une enragée. Marie regarda et sourit. — Wow ! T’as déjà une admiratrice, ça promet !— Ou toi, un admirateur ! C’est peut-être un monsieur outarde, y doit bien en avoir. Mais au fond de moi je me disais que l’oie devait m’en vouloir d’avoir failli l’écraser. C’est possible ça ? Ou bien elle s’amusait à nous suivre tout simplement ? Probablement, mais ça m’énervait. — T’as du sperme sur le menton, minou.— Oups. Elle se l’essuya et jeta le kleenex dans le sac-poubelle derrière mon siège puis se refit ...

... une beauté. — Une griffe qui n’appartient à aucun animal connu, dis-je pour répondre à sa question, pas de doute c’est un loup-garou, Marie. Elle rit. — Ouais y me semble, on verra bien. Et si… Elle plissa la bouche et les yeux, figée, signe qu’elle réfléchissait. — Et si… Miss Pipe.— Ça me fait mouiller quand tu me donnes des petits noms pervers, dit-elle en agitant la tête drôlement. Elle aimait bien se moquer de moi, ma belle bombe, et je le lui rendais bien quand l’occasion se présentait. — Et si… Miss beau cul.— Et si c’était unsasquatch ? Je soulevai les sourcils, « ah les femmes, qu’est-ce qu’on ferait sans elles ! » — Ben oui, Miss neurones, pourquoi pas !— C’est plus crédible qu’un loup-garou en tout cas, le roi des sceptiques.— C’est sûr. Parlons-en, des sasquatchs. Pourquoi on…— Oublie ça, je sais déjà tout ce que tu vas dire et tu sais déjà tout ce que je vais te répondre. Je plissai les yeux, songeur, avant de répliquer : — C’est ça la vie de couple, minou. On n’a plus besoin de se parler pour se comprendre et après on se ramasse chez un conseiller matrimonial parce qu’on ne se parle plus et neuf fois sur dix, c’est la madame qui amène le monsieur chez le conseiller en question. J’eus droit à une jolie grimace avant qu’elle se remette du rouge en souriant. L’oie derrière semblait me fixer et c’en était troublant et soudain, deux autres apparurent derrière elle, puis trois et d’autres encore. Toute une envolée d’oies sauvages nous suivait à présent. Ben voyons ! Je ...