Petite Finale
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
fffh,
caférestau,
anniversai,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
champagne,
... gratitude. Sylvie, tranquille, se touche négligemment la chatte en sirotant son verre. À cause de toute l’excitation qui a précédé, je ne suis pas long à venir et j’explose sans prévenir dans la bouche de Lucile. Elle a voulu se retirer mais mes mains lui tiennent fermement la tête pour qu’elle en prenne le maximum. La vengeance d’Agnès doit être complète. Elle se retire et les dernières gouttes de mon sperme giclent sur son joli visage. Il dégouline de sa bouche sur son menton, elle prend le tee-shirt d’Agnès qui traînait là et s’essuie avec. — On reprend, dit-elle. Mais Agnès la coupe : –J’ai plus envie de jouer aux cartes, pas besoin. Joignant aussitôt le geste à la parole, elle s’approche de moi, se met à califourchon sur mes cuisses pose ses seins sur ma poitrine et m’embrasse doucement, doucement… En même temps elle prend mon sexe flasque, gluant, et lui prodigue des caresses qui le font se redresser rapidement. Lucile lance : — Notre sainte-nitouche devient Marie salope, on dirait ! Ce qui a pour effet de stopper net Agnès qui lui jette un regard de haine. Elle se lève, me prend par la main et m’entraîne dans la chambre. Lucile jette : — Eh ! C’est ma chambre ! – Je t’emmerde ! Elle claque la porte derrière nous. En colère elle me dit : — ...
... Pour qui se prend-elle, cette pouffiasse ? Je la sens partie pour une longue tirade quand, tout à coup elle s’arrête, tremble et se met à pleurer en marmonnant : — Mais qu’est que je lui ai fait ? Je la prends alors dans mes bras, la fais asseoir sur le bord du lit, me mets à califourchon sur ses cuisses et lui essuie les larmes avec un bout du drap. — C’est bon, c’est fini, oublie la… Je lui pose de tendres bisons sur les tempes et les joues pour la calmer, et termine par un baiser sur ses lèvres. Ça lui arrache un doux sourire et, avant de me rendre ce baiser, elle me dit : — Tu es gentil, toi. Elle défait alors ses longs cheveux tirés qui tombent en cascade sur ses épaules blanches, ce qui me la rend soudain bien plus désirable. — Je voudrais dormir, maintenant… Tu ne m’en voudras pas ? Bien sûr que si, je lui en veux un peu… Je suis encore à moitié en érection et je pensais bien conclure. Mais difficile de retourner auprès des deux autres après la scène qui vient de se dérouler. Alors je l’aide à s’allonger sous la couette et je me serre près, près d’elle, savourant la chaleur de son corps et la douceur de sa peau. Apaisée elle s’endort rapidement, et je ne tarde pas à la suivre en songeant qu’il faudra attendre un peu pour la grande finale !