1. Petite Finale


    Datte: 02/07/2017, Catégories: fffh, caférestau, anniversai, dispute, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral jeu, champagne,

    ... ma belle, approche… Agnès se lève sans la quitter des yeux, elle est plus petite qu’elle, plus ronde et leur deux corps forment un net contraste. Dès qu’elle est à sa portée, Lucile l’attrape, la serre et frotte frénétiquement ses seins contre les siens. Le mouvement est désordonné, Agnès ne bronche pas et le spectacle n’est pas très excitant, ce qui vaut mieux pour moi d’une certaine façon. Au bout d’un moment Lucile remplace ses seins par ses mains et malaxe durement ceux d’Agnès. Elle lui pince les tétons, ce qui lui fait tirer une grimace, mais elle garde son quant-à-soi. Lassée par son apparente impassibilité, elle prend le téton gauche en bouche et le suce avidement. J’ai l’impression qu’elle le mordille de temps en temps. Agnès a fermé les yeux et on ne peut pas trop deviner ce qui se passe dans son corps. Lucile passe à l’autre sein mais, rapidement impatiente, elle change de stratégie, remet ses mains dessus et les malaxe encore plus sauvagement, en sortant de petites injures à Agnès : — Alors, ma sainte-nitouche, on aime ça ? Allez, cochonne, montre moi ça ! Elle lui passe une main entre les cuisses. — Ça mouille là ? Ses caresses deviennent tortures, elle frappe maintenant légèrement les seins, s’amuse à les tirer dans tous les sens. L’atmosphère s’alourdit, la situation devient rapidement désagréable, Agnès visiblement n’en tirant aucun plaisir. C’est quand Lucile commence à s’exciter toute seule en frappant de plus en plus fort sur Agnès qui recule, que ...
    ... Sylvie intervient : – Ça suffit comme ça, arrête ! Lucile se retourne, interdite, en nage, la dévisage, puis capitule. — Ok, on arrête. Elle commence à ramasser les cartes quand Agnès dit : — Hé ! C’est pas fini ! Philippe et moi, on a encore à jouer. Nous la regardons, interloqués, et finalement je reprends : — C’est vrai, je n’ai pas fini. Même si mon sexe a débandé pendant cet épisode, j’ai encore envie d’elles et annonce : — Pour fêter la paix des braves, buvons un petit verre.— On reprend, dit alors Lucile. Mais celles qui ont déjà perdu peuvent choisir un gage à nouveau. Devant notre méfiance, elle annonce : — Je serai plus gentille la prochaine fois, d’accord ? Face à son sourire désarmant, et qui me paraît sincère, nous lui accordons cette faveur. Mais c’est moi qui perd ma chemise, donc qui gagne. Sans hésiter, je demande à Lucile de me sucer. Je savais que ça ne lui ferait pas plaisir, mais je voulais venger Agnès. À contrecoeur, elle s’agenouille, s’approche de mon sexe à moitié débandé et gluant et le prend en bouche. Elle commence trop nerveusement, trop vite, ce qui me plaît moins. — Doucement ma beauté, elle est sensible, il lui faut de la douceur ! Vas-y doucement, câline-la, elle t’en sera reconnaissante. Alors la métamorphose a lieu : elle l’embrasse, lèche le méat complètement humide, se fait plus douce. Je lui caresse ses doux et longs cheveux, passe ma main sur ses loches pendantes. Je suis aux anges. Agnès me regarde avec un sourire qui me paraît être de ...