Petite Finale
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
fffh,
caférestau,
anniversai,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
jeu,
champagne,
... L’autre baragouine alors : — Si on peut plus rigoler.— Oui et bien, rigolez entre mecs ! Elle ajoute : — On se tire les filles ? Je l’aurais maudit, cet ivrogne ! Tandis qu’elles se préparent pour sortir, je paye ma tournée, et leur lance un« bonne fin de soirée », comme on jette une bouteille à la mer. Elle me le rendent gentiment mais peu d’espoir en vue de continuer avec elles. Alors résolument, un peu par dépit, je sors et rejoins ma voiture. Je démarre, fais un demi-tour et roule vers mon chez moi. C’est alors que je les vois en grande conversation au carrefour suivant. Je baisse ma vitre et, sur le ton de la plaisanterie, je lance : — On se promène ? Sylvie toujours prompte, me répond : — Vous faites taxi?— Vous allez où ? Agnès dit : — Enfin quoi ? C’est juste à côté, on peut rentrer à pied !— J’ai rien à faire, je peux vous ramener, c’est pas un problème. Lucile dit : — Ok, on va chez moi, on va pas laisser notre pauvre taxi tout seul dans la ville. Elle se décident, montent et c’est parti. Sylvie est à côté de moi, les deux autres derrière. Bien que le trajet soit très court, Lucile en profite pour voler quelques baisers à Agnès qui reste visiblement réticente. Sylvie me fait signe de m’arrêter devant ce qui semble être leur immeuble. Sans se préoccuper de nous, Lucile pelote presque de force Agnès qui résiste mollement mais résiste tout de même. Alors que je regarde la scène dans le rétroviseur, Sylvie me fait un coup d’œil complice et me lance : — Tu aimerais ...
... bien être à leur place, hein ?— Je ne me permettrais pas la moitié de ce qu’elle fait, j’aurais trop honte. En plus je suis sûr que j’aurais déjà pris une baffe.— Tu vas pas me faire croire que tu n’a jamais peloté une de tes passagères.— Si je sais qu’elle est consentante, y’a pas de problème. – Montre-moi comment tu fais ? Tout en fixant ses yeux brillants, je me m’aperçois du coin de l’oeil que ce coup-ci Lucile a pris le dessus sur Agnès et lui roule des galoches monumentales. Alors je joue mon rôle. Je mets une main sur le volant comme si je conduisais et je pose la main droite sur sa cuisse. Ce contact me rappelle instantanément les douces promesses de ces instants trop rares, et je commence à retrouver une érection digne des circonstances. Je remonte ma main entre ses cuisses tièdes et la passe sur son bas ventre. Elle garde les yeux devant comme si elle savourait cet instant et, soudain, je sens sa main sur ma braguette. Elle palpe mon sexe déjà dur et semble prendre les mesures de mon érection. C’est à ce moment là qu’apparaît le visage de Lucile : — On s’amuse bien devant ? Nous retirons aussitôt nos mains. Sylvie se retourne, pose ses lèvres sur celles de Lucile et dit en souriant — Il bande déjà, notre petit cochon.— On va pas passer la nuit dans cette caisse, on y va ? coupe Agnès.— Et notre chevalier servant, on le laisse là ? demande Lucile.— Il peut bien nous accompagner pour le dernier verre de l’amitié, non ? conclut Sylvie. Aussitôt dit, aussitôt fait. Nous ...