1. Septieme ciel


    Datte: 28/11/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... indulgence.Aussi n'est-ce peut-être pas le fait du hasard si j'ai un jour trébuché sur ce cher beau-père. Le destin par là a voulu m'adresser un signe. J'ai voulu peut-être transgresser. J'ai voulu profaner un peu de cette image paternelle. Il ne suffisait pas à la garce que j'étais de me contenter d'autres hommes. Enfin il est possible que j'ai voulu me venger aussi de l'astronome qui m'assommait avec ses étoiles et leur contemplation. Je ne dédaigne pas de rabaisser certains anges à la tourbe de la réalité. Je ne hais rien tant que ces hommes qui n'usent pas de leur queue et ne me toisent en femelle.Aussi j'avais requis maintes fois de mon mari qu'il me parlât de la vie sentimentale de son papa. Il m'était inconcevable qu'un tel bel homme n'eût pas cédé des fois à la tentation. La vertu conjugale m'étant hérétique. Au bout du compte et de guerre lasse mon mari m'avoua que son père avait en de rares occasions déçu ma mère. Il n'en avait pas moins été discret préservant toujours les apparences et prévenant ainsi une humiliation à son conjoint. Cela ne m’étonnait guère d'un tel gentleman. Bref il était acquis que le bonhomme n'était pas de marbre. Je respirais. Il était accessible au péché.Dès ce jour et presqu' incidement je le rappelle, je partis en campagne. Du reste j'observais qu'il m'entretenait moins de galaxies et d’étoiles pour aborder à des sujets plus communs et terre-à-terre. Surtout ses regards ne mentaient pas. Il est terrible d’att****r en l’œil de l'autre ...
    ... cette flamme, celle d'un désir sauvage. On a le sentiment alors d'être radiographiée, parcourue par un million de rayons X. Nous sommes révélés, trahis jusqu'au tréfonds de l'âme. Le diable sûrement préside à cela en un étrange sabbat. Un temps cet homme sembla me fuir que le hasard coquin sans cesse me ramenait.Il y eût ce jour particulier, banal entre tous. Nous assistions tous à un semi-marathon en lequel certains des nôtres couraient. Je goûtais peu ce genre de manifestation. Je préfère davantage le tennis, sport plus élégant et aristocrate. Aussi restais-je un peu en arrière. Notamment cédais-je un peu à ce péché mignon de me rafraîchir ce en me maquillant et en changeant mes bas. J'avais dans mon sac une kyrielle de ceux-ci. Peu importe qu'ils ne fussent filés ou fatigués, j'éprouvais un plaisir infini à les retirer et à les enfiler dessus ma jambe. Leur crissement sur ma peau m'excitait.Ce jour-là en cet été sous les arbres j’effectuais cette tâche, portière toute ouverte. Il importait peu qu'on me vit. Même dois-je avouer que j'escomptais qu'il y eût alentour des voyeurs qui pussent se repaître du spectacle. Faire la garce ainsi était une façon de tromper mon ennui. Tant mieux qu'il y eût érection en tout le voisinage et qu'on se branlât avec vigueur. Je n'en attendais pas moins lorsque j'exhibais mes belles jambes. Ce jour-là je troquais des bas noirs contre des de couleur chair. J'étais en train d'enfiler le second lorsque je sursautais percevant qu'on approchait de ...