1. Septieme ciel


    Datte: 28/11/2017, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... moi.Ce pouvait être un inconnu, un de ces indicibles cochons. Je ne fus pas peu déçue de reconnaître le beau-père. Je crus d'abord qu'il débarquait ici comme par inadvertance. Il avait cependant un regard hagard. Je compris rapidement vite qu'il m'avait observé depuis quelque temps. Mater eût été le terme plus exact. Il s'était mêlé à la foule obscure et ignoble des voyeurs. Cet homme depuis longtemps été descendu du piédestal où je l'avais inopinément mis. Il était rendu à son humanité, à sa banalité. Porc comme nombre. Je conçus à cet instant qu'il m'avait convoité depuis toujours.Au diable les étoiles et la conquête de l'espace. Tout cela du coup devenait fredaine. Je triomphais. J'avais la joie d'att****r un gros poisson. Je bénissais le marathon qu'il put offrir cette opportunité. Je ralentis du coup mon geste. Jambe tendue le bas était menée lentement jusqu'au bout de la cuisse.Je savourais celle-ci non moins que les voyeurs. J'ai toujours adoré offrir aux yeux, ces cuisses, ces jambes, ces pieds. Je trouvais normal qu'un beau-père fut de mes adorateurs. Il venait le témoigner ici, aujourd'hui et sans fard. Sorte d'aveu et de capitulation de sa part. Quelle joie !Détournant la tête tandis que j'achevais mon geste, je proférais : « Vous vous êtes lassé de la course ? » Il ne répondit pas d'abord. Il lui fallait du temps pour se remettre. Son regard était toujours ahuri car focalisé sur ma jambe. Je n'en montrais guère de dépit au contraire. Rien ne pouvait tant me ...
    ... réjouir. Mon pouvoir et la fascination exercée étaient ainsi attestés. J'étais prêt à gourmander cet homme qu'il eût joué la comédie autant et qu'il ne voulut point reconnaître son désir pour moi. Le tartufe se punit lui-même. Pourquoi se restreindre et se censurer ?Nous conversions. Il était dessus moi. Je demeurais assise toujours jambe tendue, jupe relevée. Tout autre femme eût adopté une position plus digne et décente. Je n'en voyais guère l'intérêt. D'une part j'adorais sentir la prégnance d'un regard sur mes appâts. De l'autre je lui signifiais assez que je savais qu'il connaissait ma réputation. Nos masques tombaient. Il était temps. Nous pouvions passer à tout autre chose. Nous dire les choses crûment. Je voulais découvrir en lui un mâle. J'aspirais non plus au téléobjectif et aux étoiles mais vertement à sa queue. Nous redescendions sur terre.Insigne détail, un escarpin gisait au fond du véhicule. Mon pied des fois affectait de vouloir l'enfiler ou à tout le moins le caresser. Ce jeu participait de ma séduction. Cela du l'agacer au point qu'il se baissât d'un coup pour quérir en sa main l'objet. Le geste était étonnant, intempestif. Je le trouvais remarquable voire courageux. Cet homme se désarmait de tout amour-propre sacrifiant à l'instant à son irrépressible désir. Du même ton je lui balançais : « Cendrillon recherche son prince charmant. » Je lui abandonnais ma chausse. Y mettant le nez il en humât fortement le parfum.J'en profitais de relever plus haut ma jupe ...