1. La maman dévergondée, 6° partie


    Datte: 30/11/2017, Catégories: Inceste / Tabou Partouze / Groupe BDSM / Fétichisme

    ... vulve. Elle a envoyé le courant, doucement d’abord, puis en augmentant progressivement le voltage. Je voyais, avec un sentiment d’horreur mêlé d’incrédulité, l’aiguille du voltmètre progresser vers la droite.J’ai entendu ma mère hurler sa douleur qui lui venait par vagues de plus en plus hautes. C’était glaçant ; j’ai ressenti un frisson parcourir ma colonne vertébrale. Markus, Pedro et John ont enfoncé en même temps leurs queues dans sa bouche pour l’obliger à se taire. Pourtant, elle n’a pas lâché la clé. Je l’ai même entendue marmonner, malgré les colonnes viriles qui étouffaient sa voix : oui, oui, encore, encore plus fort ! Incroyable qu’elle aime qu’on lui fasse subir de tels sévices. Sans ces quelques mots, j’aurais obligé Adrienne à cesser ce supplice démentiel.Le bourreau a croisé le regard de sa victime, qui lui a fait « oui » d’un signe de tête. Alors, Adrienne a déplacé les électrodes qui étaient fixées sur les nymphes, afin de brancher le clitoris. Elle a revêtu un gode-ceinture, lui aussi connecté électriquement, pour que le vagin reçoive aussi des décharges électriques.Puis, sans hésiter, elle a envoyé le voltage maximum. Maman s’est raidie, les yeux exorbités, ...
    ... au paroxysme de la douleur. Plus aucun son ne sortait de sa gorge épuisée par les cris. Les trois gars, dont pourtant les bites s’électrocutaient aussi, par contact avec les lèvres, ont éjaculé ensemble dans sa bouche grande ouverte. Adrienne a pilonné, puis retiré le gode-ceinture en le laissant planté dans le vagin. Elle a glissé une main dans sa culotte aussi noire que son âme, et s’est branlée avec force, jusqu’à se fister elle-même avec son poing fermé ; rapidement, elle a éprouvé un orgasme sadique : un spasme fulgurant, puis elle est entrée dans une transe quasi mystique, directement connectée à l’intense souffrance physique de sa très consentante victime. Bourreau et victime, les yeux dans les yeux, copulaient à leur façon infâme. Ma demi-sœur riait d’un rire infernal dont je me souviens parfaitement.Puis elle a coupé le courant, et Maman s’est relâchée, épuisée. Adrienne rayonnait. Les trois gars pantelaient, les couilles vides et la queue en berne ; il se rhabillaient sans dire un mot. Moi, je pleurais. Voyez-vous, je suis un homme sensible.Amis lecteurs, en voulez-vous encore ? Si oui, dites-le-moi en commentaire, et vous écrirai des textes encore plus foutraques. 
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