1. Beauté Divine


    Datte: 30/11/2017, Catégories: h, fh, jeunes, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation

    ... Cependant, le frisson du désir était là, tapi dans l’ombre, guettant sa respiration, le battement d’un cil et susceptible de s’emparer de son corps inerte, victime offerte… Un désir vicieux, narquois, capable de se déployer avec gourmandise dans les rêveries les plus intimes de l’écrivaine endormie… … Dans sa chambre richement meublée, la jeune Eléonore était assise, devant sa coiffeuse, le regard noyé dans le miroir qui lui faisait face et qui, pourtant, reflétait sans mentir la beauté de ses 18 ans : son visage parfaitement ovale, à la pâleur exquise, sublimé par le bleu de ses yeux. Un teint d’une pureté sans fard. La jeune fille, silencieuse, se laissait docilement coiffer par sa servante qui, d’un geste attentionné, brossait la masse soyeuse de cette longue chevelure blonde et bouclée. Une fois le rituel du lever accompli, la servante quitta la pièce. Eléonore, enfin seule, alla jusqu’à la fenêtre qui était entrouverte et observa un long moment ce vert tendre printanier qui recouvrait le paysage dans son ensemble. Elle était vêtue d’une simple chemise blanche en tissus très fin, sans manche. La lumière éclatante du jour dévoilait un charmant duvet blond sur les avant-bras graciles de la jeune fille et dessinait son corps longiligne, totalement nu sous cette tunique qui lui tombait jusqu’aux chevilles. Sous ce tissu sans fioriture, l’arrondi charmant de son petit ventre se formait et se déformait au rythme de sa respiration profonde par laquelle elle cherchait à profiter ...
    ... pleinement de cet air matinal. La transparence de la chemise ne pouvait dissimuler une toison dorée et abondante sur son pubis. Eléonore ouvrit grand les battants de sa fenêtre et, calant son ventre charmant contre la paroi, se laissa imprégné par ce paysage familier qu’elle appréciait tant. Caractère romantique, elle était absorbée par ses pensées, revivant, à la vision de ces arbres majestueux, ses folles escapades enfantines. L’air, plus vif alors, prit un malin plaisir à bouleverser sa longue chevelure que, d’un geste nonchalant, elle remit en ordre. Grisée par l’air vivifiant, la jeune fille collée ainsi à la fenêtre sentit une sorte d’exaltation s’emparer de tout son être. Elle en fut quelque peu troublée. Et, pour mieux observer la beauté du paysage, elle se cambra légèrement. À ce contact du rebord de la fenêtre sur son bas-ventre, ses sens furent soudainement en éveil. Innocemment, elle s’appliqua à se cambrer un peu plus encore, et encore un peu plus. Sa cambrure ajoutée à l’air qui s’engouffrait sous sa chemise lui procurait une sensation délicieusement inconnue. Quand Johan, l’ébéniste, entra dans la chambre, accompagné de la servante qui, aussitôt disparut appelée à la hâte par le maître de maison, restant alors seul dans la chambre d’Eléonore, il ne remarqua ni la richesse du mobilier, ni la finesse des tapisseries, ni même les quelques portraits habillement peints qui ornaient les murs. Il ne vit que ce joyau qui brillait de mille éclats. Ce cul, mon dieu, qui ...
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