Mon Sicilien (3)
Datte: 02/07/2017,
Catégories:
Divers,
Mon Fred en profite pour me faire connaitre toute sa famille lors d‘une réunion chez ses parents. Il me présente comme sa compagne, j’arbore fièrement son collier de cuir à mon cou et cette laisse qui se balance entre mes seins. Quand il fait venir une de ses nombreuses cousines, il me la présente comme une humble servante mariée et mère de deux enfants. Une femme saisissante de beauté, sublime en tout point, son ventre parfaitement plat dans sa robe moulante ne laisse rien paraitre ses deux maternités. - Voici ma compagne, comme toi, par le passé, elle est devenue ma servante. - Voici une fort belle jeune femme, mon Seigneur, vous donne-t-elle entière satisfaction ? - En tout point, en tout point. Et ton Maître, où se cache-t-il ? - Il possède une serveuse derrière la grange. - Pas mal, pas mal du tout. Et toi, l’aime-tu toujours ? - Non seulement je l’aime, mais je le vénère à chaque instant. Je sens comme des regrets dans sa voix - Est-il brutal ou amour ? - Les deux, mon Seigneur ! - Que préfères-tu ? - Les deux, mon Seigneur, il faut bien punir sa servante quand elle faute. Là encore, pieu mensonge, je la sens embarrassée. - Tu vois, ma chérie, cette cousine, sans qu’elle ne le sache au début, est devenue une femme exquise, tendre et affectueuse avec son amant jusqu’à lui faire don de sa personne, tout comme toi. - Oui mon Seigneur, cette femme est belle. Puis-je mon Seigneur ? - Fais ma chérie. Près de cette femme, nous étions un peu à l’écart. Je pose ma main sur sa ...
... joue, elle y appuie son visage. Complaisante avec moi, je caresse sa joue à la peau si douce. - Vous voilà amie, mes chéries. Quand tu verras ton mari, amène le moi que je lui parle. Viens-toi ! Près d’une grande et longue table dressée, il termine les présentations avec ses parents et du reste de sa famille. Inutile de dire que j’étais craintive à l’idée de ne pas plaire à ce couple, ses parents. Quand arrive le mari de la cousine, mon Fred me le présente. Nous nous éloignons de la famille pour mieux nous connaitre. Avec sa femme, le mari et Maître me palpe sans vergogne, docile, je me laisse faire. Aussi, il guide sa femme vers moi. Ne nous obligeant à rien, ils nous laissent nous embrasser tendrement. De nos mains sont curieuses, elles fouillent le corps adverse, très vite, nos cœurs battent à l’unisson. Très vite aussi, nous voilà prise dans un orgasme parfaitement synchronisé et merveilleux sous le regard de nos Seigneurs. À table, mon amant m’assoit près d’Isabelle, me laissant faire comme bon me semble. Toutes deux libre d’agir comme bon nous semble, nous en profitons pour nous éclipsé juste après le café. Isabelle m’entraine dans une remise, bien à l’abri des regards. Quelque chose de fort nous pousse l’une vers l’autre. Tout en nous nous aimant, nous nous racontons comment nos Maîtres agissent avec nous. Nous ne nous cachons rien de nos journées, nous ne nous cachons rien de nos désirs, de nos fantasmes. Très vite, il est clair pour Isabelle comme pour moi que nous ...