1. Mon Sicilien (3)


    Datte: 02/07/2017, Catégories: Divers,

    ... orgasme monté en moi et en flèche. Ce salaud sait me faire jouir et j’aime quand il me fait jouir de la sorte. Le bain terminé, je le sèche, l’habille pour la soirée. Dans le salon, je dépose un plat de viande froide et fromage avec du pain et un verre de vin, le tout provenant de sa région d’origine. Pendant qu’il mange, je prépare la lessive pour lundi. Dans l’appartement, je suis toujours nue, mon seul vêtement est mon soutien-gorge à balconnet et mon tablier de soubrette, aux pieds, mes escarpins. Quand il se lève brusquement, il me fait si peur que j’en tombe durement sur le sol. Là, il change, devient blême, presque transparent. Il me soulève et va me coucher sur l’ottomane. Après avoir inspecté mon corps, il m’interdit de me lever. Au téléphone, tout recommence, mais pas avec le même correspondant et toujours dans ce même dialecte. Un mot me fait frémir de peur, un mot anglais, kidnapping. Je crois deviner les intentions de mon Fred et j’ai terriblement peur qu’il fasse une grosse bêtise. Il repose le combiné, me regarde en me disant que tout est arrangé. Mais qu’est-ce qui est arrangé, je crains pour Isabelle et ses enfants, je crains le pire si Alberto venait s’emporter. J’avoue mes peurs à mon Seigneur et Maître. Il s’accroupit devant moi, écarte son peignoir posé sur mon corps, me lèche mon minou. Je me suis encore plantée, je ne lui ai pas fait confiance et pourtant, il fait tout pour depuis le début. Je m’écarte de lui, m’accroupis face à lui, mon Fred. qotqnnuv ...
    ... - Mon Seigneur, je dois être punie de ne pas vous avoir fait confiance. Flagellez votre servante, c’est une supplique qu’elle vous adresse. - Je ne vais pas te punir de cette manière, non. Je vais te fesser pour commencer. Après, je verrai. Sur ses cuisses, je m’allonge. Il pose un gros coussin entre ses cuisses et mon ventre. La gauche caresse, la droite endolorit, il alterne, une caresse pour deux grosses claques. Mon fessier ne tarde pas à me cuire comme tout mon corps de sentir monter ce brulant plaisir mêlé de douleurs, de délicieuses et voluptueuses douleurs. Puis il arrête tout, même ses caresses, je ne bouge pas, j’attends son bon vouloir. Ses coudes sur mon dos, il pense, réfléchit. - Tu sais, tout bien réfléchit, ce n’est pas à toi d’être fessée, mais moi. Je me suis si lourdement trompé avec Alberto et ma cousine que je mérite les pires châtiments. Je ne réponds pas, il continue sa liste d’erreur avec sa cousine. Ainsi j’apprends qu’il va faire enlever Alberto, demander anonymement à Isabelle une très forte rançon. Il sait déjà qu’elle ne peut la payer, qu’elle n’a pas accès aux comptes de son mari. Là, je reste sans voix, Fred me dit que, comme lui, il a fait fortune avec la bourse. Mon Fred m’avoue être riche et je n’en savais rien et, pour tout dire, je m’en moque complètement de sa fortune, c’est l’homme que je veux, pas ses tunes. Fred se frappe le front, je me relève, caresse son doux visage pour lui dire que des erreurs, tout le monde en fait. La gifle reçue ...