1. 53.1 Une présence de mec.


    Datte: 01/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... et Jérém… Oui, mon Jérém semble de plus en phase avec les désirs de son pote… ses paupières tombent lentement, lourdement, sa bouche s’ouvre comme pour rechercher de l’air, sa respiration se fait ample, profonde, excitée, son corps semble parcouru par un frémissement interminable… un frémissement dont les variations traduisent le bonheur procuré par les frottements de la queue de son pote dans son entrecuisse… C’est beau ce contact des corps musclés, ce contraste des teints de peau… celui plus clair de Thibault dominant celui bien plus mat de mon bobrun… Je suis en surchauffe… zone rouge… je bande comme un âne… je mouille à tremper les draps… Ma main a tout naturellement rejoint ma queue… je me branle machinalement, sans quitter la scène qui se déroule devant mes yeux… Je vois les mains de ce Thibault quitter les épaules de son pote, ce dernier ne donnant désormais plus aucun signe de vouloir se débattre… le bel étalon à la peau mate semble apprivoisé… il semble avoir trouvé son maître… Thibault relève le buste, prend appui sur ses genoux… sa queue est magnifique, tendue, moite… ses mains écartent les fesses de son pote… je le vois approcher le visage de son entrecuisse, cracher un bon coup… Puis, avec un geste rapide, le bomécano avance encore son visage vers les cuisses de son pote tenues bien écartées par ses grosses paluches… il avance d’un bond, jusqu’à ce que son nez s’enfonce dans la raie de son pote… Le bomécano se lâche alors avec une énergie et une fougue chargées ...
    ... d’un désir certain… il est comme fou… son visage s’enfonce de plus en plus profondément entre les fesses de Jérém… sa langue se déchaîne… Jérém en est dingue, il ahane comme un fou… il ne peut se retenir : « Encore… encore, vas-y mon pote, oh oui, comme ça, c’est bon, putain, encore… ». Les mots de Jérém chauffent son pote qui y va de plus en plus franco, insatiable d’offrir ces caresses si intimes et si excitantes à son meilleur pote, insatiable de sentir Jérém prendre son pied comme un fou, insatiable de ce plaisir partagé avec son pote… Je me branle désormais comme un malade… je sens que je vais très vite jouir… je ne veux pas encore jouir… mais je ne peux pas arrêter de me branler… Puis Thibault se relève, avance le bassin… son gland glisse lentement, disparaît entre les globes musclés et désormais bien préparés de son pote… Putain qu’est-ce qu’il fait chaud dans cette pièce… les draps se collent à ma peau… Jérém relève ses épaules, prend appui sur ses coudes, plie son cou vers l’arrière… son visage vise presque le plafond… Et sur ses traits, je lis, comme dans un livre ouvert, cette expression typique où se mélangent l’excitation, l’espoir d’un plaisir fantasmé qui commence pourtant par une douleur réelle… l’envie et le doute… l’inquiétude, la peur d’avoir encore plus mal, tout autant au corps qu’à l’esprit… toute cette gamme complexe de sensations qu’on éprouve la première fois qu’on se donne à un autre garçon… Putain de draps qui me tiennent chaud… je les attrape, je ...
«12...121314...»