1. Vengeance tardive


    Datte: 01/12/2017, Catégories: fh, fplusag, photofilm, Masturbation Oral pénétratio, fdanus, aliments, fantastiqu,

    Il s’agit de la suite de « vendanges tardives », texte 09897. Nathalie souhaite toujours reconquérir Balou qui lui coule des jours heureux avec Elisabeth. Les mois ont passé, Ségolène a épousé Bernard. Lequel Bernard a quitté le domaine d’Elisabeth. Le mois de juin cette année aura été très chaud à n’en pas douter. Le ciel bleu azur enchante la Bourgogne. Elisabeth, nue, nageait dans la piscine. Bronzée intégralement, elle était resplendissante. Sa chevelure dorée lui donnait encore davantage de charme. À 55 ans, elle vivait une folle histoire d’amour avec Balou, son cadet de presque 20 ans. Tous deux vivaient intensément chaque instant, ils savouraient la joie d’être ensemble, amoureux comme de jeunes adolescents. La sirène blonde et ambrée continua ses longueurs un petit moment. Ensuite elle sortit de l’eau majestueusement, c’est du moins l’impression qu’avait Balou en la regardant. Elle lui souriait en avançant vers lui. Balou admira sans se lasser la finesse de son corps, les hanches admirablement dessinées, les fesses rebondies bien hautes, la poitrine ronde et ferme au bouts dardés de couleur caramel. Les petites rides aux commissures des lèvres ajoutaient encore à sa beauté. Elle s’agenouilla près de lui. — Mon Dieu, mais tu bandes déjà ? Petit coquin. Balou se masturbait, allongé sur le transat. — Je t’aime Eli, je te désire, regarde dans quel état tu me mets.— Te boire au petit déjeuner, hummm j’adore, mon chéri. Elle plongea vers le dard turgescent. Balou ...
    ... frissonna, prisonnier dans cette bouche ; des gouttelettes d’eau ruisselaient des cheveux d’Elisabeth sur son ventre. Il soupira d’aise. Sa compagne le pompait comme elle savait si bien le faire, elle l’avalait presque entièrement pour ensuite remonter vers le gland violacé, puis replonger à nouveau. Ce délice était à n’en pas douter une preuve d’amour qu’elle lui prodiguait. Soudain, il frémit davantage. Balou vit Elisabeth enduire sa verge de confiture de fraise. Elle lécha doucement le membre sucré. Le contraste entre la douce chaleur des lèvres, puis la fraîcheur de la confiture, arracha des gémissements à Balou. Elisabeth jubilait. Elle trempa carrément le gland dans le pot, puis elle suça sa friandise avec appétit. — Humm déguster un Balou au petit-déjeuner, c’est divin.— Ooooh ma chérie, je t’aime, hurla-t-il. Il éjacula à longs jets de sève dans le pot de confiture qu’Elisabeth maintenait fermement devant le gland. Elle se mordit la lèvre inférieure, heureuse de pouvoir déguster ainsi un mélange sucré-salé de si bon matin. Elisabeth se saisit d’une petite cuiller en argent, elle mélangea le chaud nectar à la marmelade, puis dégusta lentement sa divine mixture. Balou la regarda amoureusement, un sourire aux lèvres. Il se leva et lui embrassa ses épaules : — Merci, tu es fabuleuse, dit-il. Ainsi s’écoulaient les week-ends dans la propriété d’Elisabeth, faits d’une débauche de luxure entre les deux amants, le tout pour leur plus grand bonheur, du moins jusqu’à ce jour. ooOoo ...
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