Vengeance tardive
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
photofilm,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fdanus,
aliments,
fantastiqu,
... L’angle était parfait, le paparazzi ajusta son appareil et photographia la scène. « Sacrément excitante, la mère Elisabeth » songea le photographe en mitraillant la blonde fellatrice. La position peu confortable et dangereuse ne lui permit pas de profiter entièrement de l’habileté buccale d’Elisabeth. Il descendit rapidement de l’arbre où il était grimpé, puis escalada le muret pour se retrouver côté chemin forestier. Il enfourcha sa moto et démarra rapidement. « Cela vaut son pesant de cacahuètes » se dit-il. Les photos parurent le lendemain dans la presse à scandale. On voyait parfaitement Elisabeth caresser buccalement son jeune amant au bord de la piscine. Cette parution engendra un véritable cataclysme dans la sacro-sainte notoriété de la profession viticole de la région. Mais Elisabeth n’en avait cure, elle assuma parfaitement sa liaison avec Balou. Son affaire n’en fut pas pour autant amoindrie, au contraire son entreprise engrangea de nouvelles commandes. Par contre, l’image de Balou fut écornée, notamment auprès de son patron et de ses clients. Elisabeth contacta son avocat afin d’intenter un procès au journal infâme. ooOoo Nathalie en avait bien évidement eu vent et avait vu les photos compromettantes. Elle ne se réjouissait pas vraiment, mais intérieurement elle se sentait ravie que Balou soit ennuyé par la publication de ces clichés. Cela étant, elle savait que la personne qui avait commandité cette action voulait d’abord déstabiliser la papesse des grands crus ...
... de Bourgogne. Hélas, c’est l’inverse que se produisit. Car en effet, Balou faillit perdre son emploi suite aux manques de résultats dus à la chute de ses ventes. Nathalie envoya plusieurs courriels à son ancien amant qu’elle souhaitait reconquérir. Malheureusement pour elle, il restait froid et distant. Leurs rapports étaient strictement professionnels. ooOoo Durant les mois d’été, Elisabeth avait invité sa fille Florence à se reposer au domaine. Sa fille âgée de 25 ans étudiait les Beaux-Arts à Paris. Blonde comme sa mère, grande et svelte, cheveux coupés à la garçonne, une peau légèrement dorée par le soleil, elle respirait le dynamisme et la joie de vivre. Célibataire, elle se consacrait entièrement à ses études, laissant les amourettes et galipettes de côté. Elle fut agréablement surprise par la vie harmonieuse que sa mère et Balou menaient. Florence n’avait jamais vraiment aimé ses parents, mais elle devait admettre que sa mère revivait depuis sa séparation avec son père. Balou, elle l’appréciait sans plus, cela dit « ma mère a bon goût » pensa-t-elle, un sourire en coin. Florence avait éclaté de rire en voyant les photos publiées par la presse. Elle bannissait évidemment les agissements des paparazzis. Mais elle devait avouer que sa mère était talentueuse. En fin d’après-midi, elle lézardait au soleil, au bord de la piscine, n compagnie d’Elisabeth. — Tu l’aimes vraiment,ce mec ?— Oui ma chérie, je l’adore, il m’apporte énormément de bonheur.— Peut-être maman, mais as-tu ...