1. Hamburgers, orgasmes & E.T.


    Datte: 01/12/2017, Catégories: 2couples, copains, Oral 69, pénétratio, double, sf,

    Résumé : Ben Bauer, un nostalgique du passé, accepte de suivre son meilleur ami dans un restaurant proposant de nouveaux services : restauration rapide et la possibilité de coucher avec les serveuses. D’abord réticent, ses hormones finissent par prendre le dessus, et les deux amis s’abandonnent à l’extase en compagnie de deux serveuses. Mais, en plein coït, Ben vit une expérience traumatisante qui le propulse dans un autre monde. Terrifié, il s’enfuit du restaurant, et découvre par la suite un petit mot glissé par l’une des serveuses, implorant son aide. J’ai verrouillé toutes les serrures de ma porte d’entrée, celles manuelles et celles électroniques, mais je ne me suis pas senti en sécurité pour autant. Pas du tout même. J’ai fermé tous les volets, j’ai même été jusqu’à vérifier la fenêtre de la salle de bains. J’ai ôté mes vêtements et je les ai enfournés dans un sac à déchets, direction la désintégration. Les porter à nouveau me semblait dangereux, comme s’ils s’étaient imprégnés de ce qui s’était passé là-bas. Mais que s’était-il passé, au fait ? Et si j’avais eu une hallucination ? Peut-être qu’ils avaient mis quelque chose dans mon café… Mais j’avais bien vu quelque chose. Cette étendue désertique et ravagée. Et cette choseen Jennifer… Ce truc rose et vivant autour de son cerveau ! La longue douche froide que je pris m’aida un peu à me calmer. Tout en me séchant, je tentai de mettre de l’ordre dans mes idées qui se bousculaient. Qu’est-ce que je pouvais faire ? ...
    ... Jennifer m’avait glissé ce mot au moment où je me rhabillais précipitamment ; mais quand l’avait-elle écrit ? Le gardait-elle dans sa poche ? Ou l’avait-elle écrit avant de me rejoindre ? Mais pourquoi me le donner à moi ? Savait-elle que j’allais voir ces trucs ? Et si c’était tout simplement un canular ? Je ne voyais toutefois pas à quoi cela leur aurait servi de faire ça, à part à se payer une bonne tranche de rire. Mais de quoi ? De ce truc qu’elle avait autour du cerveau ? Et les autres filles, avaient-elles la même chose en elles ? Et qu’est-ce que c’était, d’abord, ce truc rose ? — Merde ! grommelai-je en sortant de la salle de bains. J’enfilai un caleçon, un jean et un tee-shirt noir. Toutes les lumières artificielles de mon appartement étaient allumées. La moindre zone d’ombre me semblait suspecte. J’allais rapidement virer parano. Mon CommuniCa-Corp s’alluma brusquement avec un grésillement. Dans l’état de nervosité dans lequel je me trouvais, je fis un bond en arrière et me cognai le genou contre la table basse. — Aïe ! Je me retrouvai le cul par terre. Un message s’afficha sur le fond blanc : —Appel de Maximilien Ortiz. Accepter ? Je me relevai en pestant et m’emparai de la télécommande. Une seconde plus tard, le visage de mon ami se matérialisa sur l’écran. — Ben ? Mais bordel, qu’est-ce qui t’a pris de te carapater comme ça ?— T’es rentré chez toi ? lui demandai-je.— Bah ouais. T’as vu le diable ou quoi ?— Je… J’en sais rien. Il s’est passé un truc bizarre. J’ai ...
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