Hamburgers, orgasmes & E.T.
Datte: 01/12/2017,
Catégories:
2couples,
copains,
Oral
69,
pénétratio,
double,
sf,
... gémissait de plus en plus fort, se tortillait légèrement, la bouche toujours pleine de mon sexe. — Attends, attends, tu va me faire éjaculer, attends… la suppliai-je, n’en pouvant plus. Elle cessa sa fellation, se redressa et me fit face. Je me redressai à mon tour, le sexe palpitant, plongeant ma tête entre ses seins, dévorant de baisers les pointes dressées. Max était occupé à pénétrer Jennifer en levrette. Celle-ci avait la tête posée sur le fauteuil, les yeux clos, la bouche à demi ouverte et laissant échapper des petits cris rauques de plaisir. Ma compagne se positionna à quatre pattes elle aussi, et me jeta un regard brûlant. — Viens la mettre au chaud… J’inspirai profondément. Le moment de vérité. Tout en me redressant, je jetai un œil aux alentours, cherchant plus ou moins ce qui pouvait me servir d’arme… Mon marteau. Je restai une seconde interdit. Je l’avais sur moi quand les filles étaient entrées. Et… La serveuse m’avait vu me déshabiller. Et le marteau avait disparu ! Il ne faisait donc aucun doute que c’était elle qui me l’avait subtilisé, probablement lorsque je la serrais contre moi. Donc elle savait. Elle savait que je savais. Mon cœur doubla sa cadence, mais je parvins à me maîtriser. Je m’approchai d’elle et l’attrapai par les hanches. Je fis glisser mon sexe le long de ses fesses, vins humecter mon gland au bord de son vagin humide, et la pénétrai jusqu’à la garde, les yeux clos, n’entendant pas son cri de plaisir, me préparant à une nouvelle vision. — ...
... Baise-moi, gémit-elle. J’ouvris les yeux. Max avait changé de position, il s’était assis sur le fauteuil et Jennifer était empalée sur lui, lui tournant le dos. Il lui administrait de grands coups de reins rageurs, faisant tressauter sa poitrine à chaque coup de boutoir violent. Ma serveuse me jetait un œil suppliant. J’étais enfoncé en elle, immobile. — Défonce-moi. Allez ! Elle se cambrait au maximum, m’offrant sa croupe. Il ne s’était rien passé. Je commençai à donner de petits coups de reins, stupéfait. — Tu as eu une hallucination ! hurla mon esprit. Tu vois bien que t’es timbré ! Une hallucination ! Il ne se passe rien du tout ! Je n’arrivais pas à y croire. J’étais toujours dans le salon de mon ami, en train de m‘envoyer en l’air avec cette serveuse. Aucune vision d’étendues désertiques, de villes abandonnées, de bâtiments détruits, de créature visqueuse dans des cerveaux… — Mais… balbutiai-je. Tout à l’heure, cela avait eu l’air si réel ! J’avais même senti le vent souffler ! Je ne pouvais me résoudre à croire que tout s’était passé dans ma tête. Ma serveuse n’en pouvait plus, elle balançait ses fesses pour venir à la rencontre de ma verge. Je pris le rythme, plus violent, imprégnant des coups plus profonds et plus soutenus. — Hmm ! Oui ! Hmm… Rien ne se passait. — Oui ! Oui ! Jennifer se déhanchait de plus en plus vite en se mordant les lèvres. Non. Je n’étais pas dingue. Elle avait bien glissé ce mot dans ma poche. C’était réel. Peut-être simplement que ma serveuse ...