Mon émoi
Datte: 02/12/2017,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
cinéma,
école,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
init,
amourpass,
... sensations que son sexe déclenche me font tourner la tête. — On peut attendre encore, si tu veux. Tu me fais comme la dernière fois et…— Non. Aujourd’hui, je me donne à toi. Fais juste attention de ne pas venir dedans. Je l’attire à moi. Sa bite se fraye un chemin dans mes entrailles, la délivrance est là, une vague de soulagement presque trop puissante pour être supportée, je me sens partir, défaillir, je suis là et dans les airs, dans cette petite pièce miteuse et dans le ciel bleu. J’enroule mes jambes bourdon autour de ses hanches, je me serre, il me culbute, enfonce son sexe en érection au fond de moi, il passe ses mains autour de moi, dégrafe mon soutif trop serré avec difficulté, expose mes nichons, il me baise en me regardant, me regarde en me baisant. Je m’étale de tout mon long sur le bureau poussiéreux, tant pis pour l’hygiène, il a mes seins dans ses mains, ses coups de reins se font puissants, il me mate, je le sais, il dévore ma chatte des yeux, cette fente qui s’écarte au passage de sa queue trempée de cyprine, le bourgeon gonflé pointé vers lui, mon ventre nu et ferme, mes gros petits seins tout ronds, mes cuisses qui l’enserrent, mon cul, écrasé sur le chemisier sur le coin du bureau. Je me sens belle. J’ai toujours trouvé mon nez trop gros, mes cheveux trop rebelles, mon corps fade, petit, étriqué. Mais là, dans ses bras, sous ses coups de boutoir, avec sa queue qui bat au fond de moi, sous ses mains qui m’explorent, sous ses baisers, sous son regard ...
... voyeur, je me sens belle, désirée, heureuse. Ses mouvements deviennent plus amples, plus lents, le plaisir monte en moi, je me laisse porter, je jouis longuement, je lui montre, je gémis, je me fais amante, salope, petite vampire. Il m’écoute, suit les mouvements de mon corps, sa bite s’accroche à ma chatte, la caresse, la malaxe, la pénètre avec une douceur extraordinaire. C’est tout juste si je la sens s’enfoncer en moi, revenir, ressortir, entrer à nouveau, humide, turgescente, excitée. Il se retire enfin, je suis vide, repue, satisfaite. Je glisse le long du bureau, je m’agenouille et le prends dans ma bouche. Sa queue sent la cyprine, il me regarde le gober, se tourne vers sa veste, en sort son téléphone. — Je peux te prendre en photo ? Je souris. Je hoche la tête et l’avale à nouveau, en fixant le petit objectif. Il se branlera en me regardant sur son portable, sur son ordi, il me mettra en fond d’écran. Mes doigts descendent vers ma chatte, je me masturbe en le suçant. Le flot de sperme inonde ma bouche, me prenant par surprise. Deux jets et ma bouche est remplie, trois, et ça déborde, le liquide me coule sur le menton, quatre, cinq, je hoquette, j’avale, je recrache, six, sept, je garde le sperme sous ma langue, j’ouvre grand mes lèvres gluantes, le lèche, et le lèche et le lèche encore, autour du gland, sur le méat, il continue de me photographier, il me trouve belle, belle… Je le branle sur mon nez, la sensation de son sexe dur sur mon visage m’électrise, me réveille les ...