1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1144)


    Datte: 02/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Marquise esclave – (suite de l'épisode précédent N°1143) - Mais là elle sentait que ça allait la propulser bien plus loin encore sur le chemin de sa soumission… (Je vais désormais utiliser la première personne du singulier pour continuer mon récit) … Effectivement, ma vie n’avait pas spécialement changé. Mon rythme de vie était toujours le même. Je passais la plupart de mes nuits dans mon Cachot, Walter venait me chercher, en même temps que mes sœurs, nous allions prendre notre douche matinale après la première promenade du matin dans le parc pour soulager nos vessies. Puis chacune de nous rejoignait le service où elle devait remplir les corvées matinales. Enfin, je retrouvais le petit bureau que le Maître voulait bien que j’occupe pour remplir ma fonction de secrétaire particulière. Seulement il arrivait peut-être un peu plus souvent que je sois autorisée à passer la nuit dans Sa chambre. Cela ne voulait pas pour autant dire que je dormais dans Son lit, même si c’était déjà arrivé qu’Il me le permette. Ce qui était beau dans cette relation, c’est que nos sentiments réciproques n’avaient en aucun cas changé notre nature. Et comme Il me l’avait annoncé, le Maître était plus strict dans Ses exigences, et rien, encore moins qu’avant, ne m’était passé ! Il fallait que je sois parfaite en tout et pour tout. Pour exemple, un jour je devais rédiger un courrier à un fournisseur. Je fis une faute d’accord sur un participe passé. Comme toujours, lorsque je devais Lui apporter ...
    ... quelque chose, et que je ne pouvais donc pas me déplacer en quadrupédie, j’étais allée à Lui à genoux. Arrivée près de Lui, j’avais posé la feuille au sol, puis cuisses écartées, j’avais joint les mains, les coudes à l’horizontal, attendant l’autorisation de m’exprimer. Il m’avait laissé ainsi en attente plusieurs minutes, m’ignorant. Puis d’un « Hum ! » sonore, Il m’avait fait comprendre que j’avais Son accord pour parler. Je m’étais alors prosternée devant Lui, les bras étendus en avant, les paumes vers le ciel pour présenter la lettre, Lui demandant la permission de la transmettre à son destinataire. En ayant vu la faute que j’avais faite, Il m’ordonna de me mettre à genoux et de relire pour vérifier ce que j’avais écrit. Il exigea que je le fasse dos à Lui. Lorsqu’Il voulut savoir si j’avais remarqué quelque chose et que je répondis par la négative, je sentis un coup de fouet me marquer le dos en diagonale. Ce ne fut que lorsque j’eus quatre marques, que je trouvais, et Le suppliais de me pardonner pour mon inattention. Le silence se fit pesant, je sentais Son regard perçant sur moi. Il claqua des doigts et je m’empressais de le rejoindre, à genoux puisque j’avais toujours la feuille en main, puis je me prosternais, tellement honteuse de le décevoir ! Le Maître saisit ma laisse et prit un pas rapide pour sortir de la pièce et me conduire dans une autre. Je ressentis une forte humiliation quand Il me dit que ma punition allait d’être de faire des lignes de conjugaison du verbe ...
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