1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1144)


    Datte: 02/07/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sur lequel j’avais fauté. J’avais l’impression de redevenir une toute petite fille punie à l’école. Il m’amena près d’une écritoire. Devant celui-là, il y avait un long manche fixé au sol à la verticale, dont l’extrémité était un énorme olisbos en bois sculpté laissant, saillant, un énorme gland en bois dur et savamment dessiné mais dans des proportions dépassant largement un gland d’un sexe humain. Je dus m’empaler dessus par le cul, mais si je ne voulais pas qu’il s’enfonce trop douloureusement, je devais rester sur la pointe des pieds. - Et je ne veux pas qu’une seule plainte sorte de ta bouche, aucun son, aucun gémissement. Je ne te donne pas de limite de temps pour faire tes lignes. Toi seule décidera du temps que tu devras garder cette position, avec évident le dos bien droit ! Et tu devras garder une écriture parfaite. Si un seul mot était mal écrit par une écriture tremblante ou illisible, tu devras tout recommencer. S’il y a une seule faute d’orthographe, la sanction sera bien plus dure, je ne te conseille pas de tester ! Allez mets- toi au travail maintenant, salope ! J’étais restée ainsi un peu plus d’une heure. Il m’arrivait d’avoir des faiblesses dans les pieds ou les jambes, mais essayer de me soulager ne faisait que rendre douloureux mon fondement et me faisait très vite remonter sur la pointe des orteils. J’avais pris mon temps pour que chaque mot soit bien lisible, bien écrit. Lorsque Walter vint sur les ordres du Châtelain vérifier mon travail, il ne dit ...
    ... rien, mais il m’aida à me désempaler et me reconduit dans mon bureau. Le Maître n’était pas là. Je savais que c’était intentionnel. La sanction touchait autant l’esclave que l’amoureuse, puisque les deux ne faisaient qu’une seule et même femelle. Mais l’impact des punitions était doublé ! Dans les faits, rien n’avait profondément changé, mais dans mon cœur, tout était plus intense ! Ma soumission, ma dévotion, mes ressentis dans les récompenses ou dans les punitions… Un autre détail changeait parfois. Même si nous étions avant tout dans une relation D/s, parce que nous ne pouvions pas, et nous ne voulions surtout pas, échapper à nos natures profondes, il arrivait qu’au lieu d’un Maître qui prenait Sa chienne comme Il l’entendait, comme Il le voulait, peu importe les désirs de la femelle, ce soit simplement un homme et une femme qui s’unissaient, qui mêlaient leurs corps à l’accouplement. J’éprouvais toujours une certaine retenue, jamais je n’aurai pu tutoyer Celui qui restait avant tout Le Maître de ma vie, je ne me sentais pas autorisée à jouir sans un signe de Sa part. Mais j’avais l’immense privilège et l’intense bonheur de pouvoir le caresser, le regarder dans les yeux. Souvent quand cela arrivait, même si ce style de relation était rare, je m’endormais au creux de Ses bras. Il n’y avait pas besoin de mots, nos cœurs se parlaient en silence. Un soir, plusieurs mois après qu’Il m’ait avoué Son amour, après avoir joui ensemble dans un accouplement qui avait mélangé D/s et ...