Réintégration
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... nettoyer. Il l’attendait pour la remercier, lui exprimer toute sa reconnaissance. Elle a posé un doigt sur ses lèvres, s’est rhabillée, est partie sans même un baiser d’adieu. Jacques poursuit sa démarche auprès de Véronique afin qu’elle accepte de rencontrer Pascal, « pour Léa » lui explique-t-il. C’est toujours un refus net et précis. « Au moins, pourrais-je la voir » lui demande-t-il. Elle accepte, ce n’est pas la même chose. L’après midi, ils sont allés chez les grands parents qui ont profité de leur présence pour sortir un peu. La petite fille a maintenant un an. Elle a encore besoin d’une main secourable pour marcher, mais elle ne va pas tarder à partir seule. Avec plaisir elle joue avec les deux adultes. La fatigue se fait sentir, il est l’heure de la sieste. Ils sont allés la coucher. Véronique la tient dans ses bras et se penche sur le lit. Jacques est derrière elle, la prend par la taille afin qu’elle ne tombe pas. Elle se redresse, regarde sa nièce qui se met sur le coté, le pouce dans la bouche et ferme les yeux. Ils n’ont pas bougé, les bras masculins enserrent toujours la taille et sa compagne ne fait aucun geste pour se dégager. Elle pivote et ils se retrouvent face à face, nez à nez, bouche à bouche. La proximité était trop évident et le baiser incontournable. Véronique se dégage, prend la main protectrice. Quittant la chambre enfantine, elle l’emmène dans la sienne. Fermant la porte, elle se tourne à nouveau et c’est elle qui prend l’initiative. Lui ...
... enserrant le cou elle prolonge le baiser. Les mains de Jacques descendent le long des jambes, remontent la jupe et viennent empaumer les fesses. Il la serre contre lui afin de lui faire sentir combien il la désire. Elle se dégage lentement, le regarde tendrement et se déshabille rapidement. Lui aussi se met nu, à nouveau ils s’enlacent. Le désir que chacun retenait se manifeste maintenant. Elle se colle à lui, manifestant son désir d’être protégée. Il la prend dans ses bras et la dépose sur le lit. Immobile, elle l’attend. Allongé à côté d’elle, il l’embrasse tendrement, effleurant les yeux, joues, lèvres pour finir par un baiser brûlant. Une main glisse derrière le cou pour saisir un sein, l’autre étant déjà pris. Il la retourne doucement, mordille le cou, se couche sur elle, son sexe s’appuyant entre ses fesses. Elle écarte les jambes, par en dessous le saisit le place dans son sillon. Pour faciliter la manœuvre, elle se soulève sur les genoux. Jacques se met en mouvement. Le frottement contre les lèvres, le choc contre son bouton la remplissent d’aise. Elle appuie un peu plus de manière à enfouir le soc afin de se faire défoncer. Il n’y a pas eu de préparation, les lèvres sont encore sèches et pourtant il s’enfonce. Un léger frémissement de son corps, le pincement du bout des seins, les caresses dans le cou le bonheur d’être enfin désirée libèrent la source vaginale. Elle prend l’initiative, se met en branle. Immobile au-dessus d’elle, il la laisse prendre son rythme. Sa cadence ...