1. Improbable rencontre - 05


    Datte: 03/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... de ma queue jusqu'à mon gland qui expulse violemment des jets de sperme qui s'écoulent sur le mur. En jouissant, mon cul se contracte sur la queue d'Eliott qui jouit dans la capote. « La dernière fois qu'on a couché ensemble, c'était en 2e année de fac' je crois, me dit-il. - T'es toujours un aussi bon coup, lui réponds-je. - Mais toi aussi Cyril. Alors c'est d'accord pour la surveillance ? Tu me remplaces ? » Chose promise, chose due. Le samedi suivant, j'assure le remplacement d'Eliott. Me voilà à surveiller plus de mille candidats dans un hangar sans fin. Je suis le préposé aux toilettes : tout candidat désirant y aller doit se rendre à mon bureau et je dois l'accompagner afin de s'assurer qu'il ne cherche pas à frauder pendant cet « intermède ». J'ai emporté un magasine de peur de trouver le temps long. Ma lecture m'ennuie vite. J'envoie des messages à Eliott pour savoir comment se passe le mariage. J'avoue que je l'allume aussi. Et il ne reste pas sage. « Je pensais trouver un mec et le baiser dans les chiottes comme toi mais il n'y a que des prudes ou des hétéros. Pourtant j'ai un braquemard de 18cm bien raide dans le boxer qui n'aspire qu'à lever un petit cul ». Ma queue gonfle ; pourquoi ai-je décidé de porter un jean serré ? « T'es bandant quand tu couines Cyril. Une vraie chienne. T'aimes la queue, c'est kiffant. T'entendre gémir m'a fait juter. J'avais encore la gaule le soir. Je démonte ton cul de chienne quand tu veux ». J'ai envie de me caresser mais je ne ...
    ... peux pas. Une branlette devant plus de mille personnes ne m'attire pas. Mais impossible de ne pas voir que je bande comme une chienne en chaleur. La grosse bosse de mon jean me trahit. C'est alors que j'essaye de penser à autre chose que vient vers moi un candidat vraiment mignon. Un beur de 20-21 ans, le visage émacié, les épaules larges, une bosse intéressant au niveau du bassin. Il est svelte avec une putain de belle gueule. Il me tend sa carte d'identité : il s'appelle Medhi. Il me précède pour se rendre aux toilettes, je mate son cul ferme dans son jean. Un Don Juan qui n'a qu'à claquer des doigts pour avoir qui il veut. Je l'attends devant la porte des toilettes. Impossible de débander. Je l'imagine tenir sa queue de rebeu pour se soulager. Soulever son t-shirt cachant des abdos fins et secs. Je glisse ma main dans mon jean pour déplacer ma queue bandée et essayer de masquer au mieux mon érection. Et c'est à ce moment que Medhi sort des toilettes. Un sourire narquois se dessine sur ses lèvres quand il me surprend. Je rougis de honte … mais je ne débande pas. Cette situation est gênante et très excitante. Je sors vite ma main et quand il aperçoit de la mouille sur mes doigts un air macho de petit domi illumine son visage. J'ai perdu toute autorité. Sans un mot, il retourne à sa place sans m'attendre. L'épreuve matinale achevée, je dispose d'une heure pour avaler mon sandwich que je mange seul dans un parc. Je raconte ma mésaventure à Eliott : « Tu aurais dû te le faire, ...