1. Improbable rencontre - 05


    Datte: 03/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... m'écrit-il. Il avait l'air d'aimer ce qu'il voyait. - Il avait d'autres idées en tête que de me limer le cul. - Ca serait bien le seul, me répond Eliott, avec un smiley narquois ». L'après-midi, je surveille un secteur du hangar. Je ne suis plus le préposé aux toilettes, quel soulagement. Enfin, soulagement relatif puisque Medhi compose dans mon secteur. Ma queue s'agite dans mon boxer. Je tente désespérément de mon plonger dans mon magasine. Rien à faire. Une mi-molle déforme mon jean et ce n'est pas discret. Quelques candidats lèvent la main pour recevoir du brouillon supplémentaire. L'un d'entre-eux est derrière Medhi. Je dois donc passer à côté de lui. Je sens une main me caresser la fesse gauche. Gaule instantanée. Alors que j'allais rejoindre mon bureau, Medhi lève la main à son tour. Ce petit con a attendu que je sois parti pour en demander. Son regard se pose sur mon jean : il a compris qu'il me fait bander. Il pose sa main droite sur son paquet pour me faire comprendre qu'il aimerait me baiser. Quand je lui tends du papier, il me glisse discrètement un papier dans la main. Je regarde autour de moi. Personne ne semble avoir remarqué ce manège. Assis à mon bureau, je déplie le papier : « T'es bandant, j'ai envie de toi ». Il a ajouté son numéro de téléphone. Le beau rebeu qui n'a pas froid aux yeux. Le concours est fini. Une fois le rangement fini, je me retrouve seul dans ce grand hangar. Je passe aux toilettes avant de subir les deux heures de train qui me ...
    ... ramèneront chez moi. Difficile de me soulager : je n'ai pas cessé de bander. Mon boxer est humide de mouille et ma queue raide me fait mal. Je ne vais quand même pas me branler ici. Pourtant cette idée me fait mouiller davantage. Tant pis. Je suis tout seul, je peux bien me faire plaisir. La première caresse sur ma queue me fait gémir de plaisir tant que Medhi m'a allumé. Je ne serai pas long à juter. Je ferme les yeux, je me branle devant l'urinoir et me laisse gémir librement sans chercher à être discret. Je pense au corps de Medhi. Je sens mon cul qui commence à mouiller sous l'excitation et le plaisir. J'entends soudain la porte s'ouvrir : « J'en étais sûr, putain ! Une vraie salope. Ca se la joue sérieux et timide mais en fait, c'est une petite chienne en manque de queue. Une chienne qui veut se faire baiser. Je t'ai vu : tu as été excité toute la journée. Je vais voir si t'aimes la queue de rebeu ! ». Pris en flagrant délit par Medhi. « Tu pensais à moi en te caressant ? Ca fait trois heures que je t'attends dehors mec ». Je reste tétanisé, la queue raide dans ma main. Il dégrafe son jean qu'il descend à mi-cuisse. Sa queue raide de rebeu en jaillit. Il ne porte pas de sous-vêtement. De la mouille perle sur son gland. « Tu m'excites depuis ce matin avec ton petit cul de chienne. Viens me sucer la queue mec ». Je m'agenouille devant lui et prends sa queue en bouche. Une odeur forte de mâle en rut s'en dégage. Je suce son gland avant de la prendre entier en bouche. « Seule une ...