1. Tranche de vie dans la soumission - 1


    Datte: 03/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    Voici quelques moments vécus il y a quelques temps et que je souhaite partager avec vous. Je vous ai déjà parlé d'Alain, cet homme d'âge mûr, rencontré chez des amis communs. Piégé dans un mariage sans amour, il avait trouvé en moi le réceptacle de sa frustration sexuelle et de ses passions. Un jour, il m'a appelé, extatique, pour m'annoncer que le divorce avait finalement été prononcé, aux torts de son ex ; il gardait la maison. Il m'a demandé de venir le rejoindre et on a baisé tout le weekend non stop. Je n'en pouvais plus mais lui était insatiable. Au fil des semaines, il m'invitait souvent pour coucher mais se trouvait déçu quand venait le moment pour moi de rentrer à la maison. Finalement, il m'a demandé de m'installer chez lui, pour quelques temps. J'étais surpris, puis réticent puis j'ai finalement accepté. Pourquoi? Parce qu'il m'a reparlé de la fois où il m'avait mis une cage de chasteté au pénis durant plusieurs jours et des plaisirs éprouvés. Il m'a confié qu'il voulait recommencer mais sur une période plus longue. A posteriori, j'ai éprouvé beaucoup de plaisirs a être encagé et l'idée d'aller plus loin m'a séduit. Je suis donc venu m'installer chez lui et il m'a remis la cage de chasteté au pénis. En aucune façon la cage ou mon encagement n'a affecté ma vie académique ou personnelle en dehors de la maison. Mais au niveau sexuel, le changement fut radical. Une fois l'étape du port de longue durée atteinte, la cage ne me quittait que quelques jours par ...
    ... trimestre. Et quand il voulait du sexe, je devais me soumettre à ses désirs : passer sous la table du petit-déjeuner pour la pipe matinale, ou dessus pour qu'il m'encule et se soulage en moi, pendant les pubs à la télé, et bien sûr le soir au lit ; il aimait me prendre en levrette dans le lit conjugal, me fesser et m'insulter en m'appelant par le nom de son ex femme. Parfois, j'initiais moi-même le rapport en m'agenouillant à 4 pattes devant lui, cambrant le dos pour faire ressortir mes fesses – je ne me laissais pas de son énergie sexuelle. Au contraire, cela renforçait ma libido, déjà bien exacerbée par la cage. Il m'arrivait même de fricoter avec d'autres hommes et de leur dire que la cage était le signe de mon appartenance à mon maître. Ce n'était pas vrai mais l'idée, pour eux, de baiser un soumis, et pour moi de prétendre en être un, décuplait notre plaisir. Je n'étais pas le seul à aller voir ailleurs. Il lui arrivait d'inviter des prostituées – souvent très jeunes (à peine 18 ans, il me semble). Et je devais assister à leur séance. Il les aime très salopes, pas farouches. Je les voyais se dévêtir, glousser et venir s'agenouiller pour le sucer puis s’asseoir sur lui et faire glisser son pénis en elles. Elles se déhanchaient avec ferveur et passion tout en hurlant de plaisir. Il les insultait, les giflait, les fessait et elles en redemandaient. Il me regardait alors et je comprenais qu'il me faisait passer un message : il me punissait car il voulait que je sois aussi salope ...
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