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Tranche de vie dans la soumission - 1
Datte: 03/12/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,
... qu'elles, que son pénis et son plaisir soient au centre de l'attention. J'assistais alors à la leçon, excité par ce que je voyais et frustré par la contrainte de la cage. Je me rongeais le frein et ils le voyaient bien. Cela amusait généralement la fille régulière qui connaît bien la situation. D'ailleurs, elle n'hésitait plus, une fois qu'il avait joui en elle, à me faire allonger et à frotter sa vulve ou son anus sur mon visage pour me faire les nettoyer du sperme. C'est elle qui a montré au vieux comment me traire, c'est à dire me faire éjaculer sans érection et sans orgasme malgré la cage. Cela est rendu nécessaire à cause de la cage qui m’empêche de bander et d'éjaculer. Dès lors, quand il y a un trop plein, un filet de liquide séminal coule de mon sexe et indique qu'il est temps de ma traire : il me fait mettre à 4 pattes sur la table basse avec un bâillon dans la bouche. Il insèrent ensuite une sorte de crochet dans mon anus qui vient masser ma prostate. Au bout de 10-20 minutes, ma respiration s'accélère car je ressens une sensation très similaire à une envie d'uriner mais c'est du sperme qui s'écoule, sans orgasme, ni érection ; le sperme coule comme d'un robinet dans une coupelle placé en dessous de moi et que je dois lécher. Il n'y a aucun plaisir physique à ressentir lors d'une traite, mais un fort plaisir mental de soumission quand on se sent traité comme un animal que l'on doit traire. Il a commencé à souhaiter que notre relation évolue vers une soumission ...
... totale de ma part et à tout instant – que je devienne sa chose. J'aurais certainement dû y mettre un terme avant de perdre le contrôle, mais j’aime cette frustration au niveau du pénis qui décuple le plaisir anal quand son sexe me pénètre alors que mon pénis est lui emprisonné dans une cage et ne peut bander. J’aime être la source et le réceptacle de son désir sexuel inextinguible, et j’aime me sentir à sa disposition pour le faire jouir. J’aime aussi que, couchant avec d’autres hommes, la vue de la cage accentue leurs ardeurs, tandis que je leur dis appartenir à mon maître. Peut-être me possède-t’il déjà. Après tout, à chaque pénétration de son pénis, je ressens un plaisir physique mais aussi mental à l’idée que sa queue est à sa place, en moi. Je ressens de la gratitude quand il me traite et vide mes bourses. D’ailleurs, à chaque traite, il exige que j’accompagne chaque pénétration par un « merci ». Au fil des semaines, ces « mercis » sont devenus sincères tant j’appréciais qu’il prenne soin de moi en me vidant les testicules. C’est alors avec passion et gratitude non feinte que je le remerciais de cette attention. Au final, je ressens un plaisir différent quand il jouit en moi ou sur mon visage parce que je me sens marqué par cet homme dont la semence me pénètre. Pourrais-je pousser le plaisir à son paroxysme et le laisser me dominer totalement ? Il contrôle déjà mon pénis dans sa cage. Abandonner ce qui reste semble dérisoire à coté du plaisir qui m’attendrait si je le ...