1. Une simple visite...


    Datte: 17/06/2017, Catégories: f, fplusag, jeunes, inconnu, volupté, Masturbation uro, init,

    ... d’entrée dans lequel une bonne en robe noire stricte, tablier et petit bonnet blancs l’introduit. Alors qu’elle patiente, du haut d’un vaste escalier, apparaît aux yeux de Victoria une silhouette un peu évanescente, cheveux longs aux mèches argentées, déshabillé vaporeux. Une main fine agrippe la rambarde, l’autre main effectue une série de signes et décrit de petits gestes d’impatience vers elle. Sans paroles, Victoria comprend que c’est une invite à monter vers cette femme et après un semblant d’hésitation, elle grimpe les marches quatre à quatre. Devant elle, la silhouette presque hiératique, avec un sourire bienveillant sur des lèvres minces et pâlottes, suit d’une paire d’yeux gris la montée de la jeune fille. D’un simple geste elle lui indique l’entrée d’une pièce et Victoria précède son hôtesse, pénètre dans une vaste chambre, au lit défait, aux lumières naturelles tamisées. Une légère odeur de sueur rode encore dans la chambre. Victoria se plante au milieu de la pièce et se tourne vers celle qui ferme avec douceur la porte. — Bonjour, je suis Victoria, je viens voir Michel.— Je sais. Michel m’a parlé de vous et de vos révisions. Mais il a dû s’absenter un moment et m’a prié de vous faire patienter…— Il en a pour longtemps, parce que je peux revenir ?— Non, quelques paires de minutes… Mais je vous en prie, asseyez-vous, en attendant. Cela dit d’une voix dolente comme celle d’un malade. Un geste alangui accompagne la voix et désigne dans un coin de la pièce un sofa ...
    ... et deux bergères qui entourent une table basse. Dans la pénombre, Victoria n’avait pas distingué cet aménagement et s’installe sur l’un des fauteuils, posant son sac à ses pieds, serrant les jambes et tirant sur sa courte jupe comme il sied en bonne compagnie. Et tandis que son hôtesse s’installe sur le sofa, prenant une position à moitié allongée, le silence s’installe. Victoria est intriguée par cette femme. Serait-elle la mère de Michel ? Elle ne l’avait pas imaginée comme ça, souffrante en plus et Michel ne lui avait jamais soufflé mot sur une maladie maternelle. Bien sûr, elle sait tout sur son père, mais sur sa mère ? Michel est toujours resté muet. Pour rompre le silence, Victoria finit par racler sa gorge avec discrétion puis avoir avalé une goulée d’air, se lance : — Vous semblez souffrante, souhaitez-vous que je vous laisse vous reposer ? Je puis aller attendre au bar, au coin de la rue, si vous voulez ?— Non, non… je vais bien. Enfin, je vais mieux. Rassurez-vous, rien de contagieux, juste une petite faiblesse passagère. Mais, Michel n’a pas dû vous parler de moi ?— Non, en effet, c’est un garçon très discret… votre fils est…— Michel n’est pas mon fils. C’est mon neveu… Victoria suspend sa phrase et reste stupéfaite de l’information. Et la tante se présente enfin à elle, elle se lance dans une vaste explication sur le ton de la confidence et d’une voix fluette. Victoria écoute avec attention, opinant de la tête pour montrer sa compassion. — Voilà, vous savez tout… ...
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