1. Une simple visite...


    Datte: 17/06/2017, Catégories: f, fplusag, jeunes, inconnu, volupté, Masturbation uro, init,

    ... enfin tout ce qu’il y a à savoir, conclut-elle.— Mais c’est triste et je comprends mieux l’acharnement de Michel au travail et son air souvent triste. Hélène, la tante de Michel, ne dit rien mais approuve en hochant la tête. — Enfin, ne soyez pas trop peinée, Victoria. Je peux vous appeler Victoria ? Hein ? Michel a trouvé ici un foyer qui a certainement compensé ses chagrins, même si des parents sont irremplaçables. Tout en terminant de parler, Hélène, avec grâce et lenteur, change de position. De demi-allongée, elle glisse sous elle une jambe qu’elle replie et garde l’autre toujours tendue sur le coussin du sofa. Dans ce geste gracile, elle retrousse doucement son vaporeux déshabillé et laisse entrevoir à Victoria une cuisse blanche, nue jusqu’à l’aine et dans un rapide coup d’œil, elle peut même apercevoir l’ombre de la toison pubienne. Victoria reste un peu médusée de cette vision, ne sachant plus où regarder ni quelle attitude adopter. La main d’Hélène au lieu de rabaisser le voile vaporeux, s’encanaille sur la cuisse, les doigts jouant une sorte de mélodie solitaire, une caresse aérienne qui passe de l’extérieur vers l’intérieur du soyeux de la cuisse et ce, sans quitter des yeux Victoria qui sent monter en elle une bouffée de chaleur et ressent un vague malaise. Surprise par cet accueil et les révélations qu’elle vient de recevoir, Victoria s’apprête à parler, ouvrant la bouche quand le doigt impérieux d’Hélène lui fait signe de se taire. Médusée, Victoria obtempère. ...
    ... Elle reste muette, les yeux fixés sur la main qui va-et-vient sur la cuisse blanche, écarte de plus en plus haut le voile de tissu pour montrer une hanche, puis un ventre légèrement rebondi et enfin une toison pubienne noire. Le ballet de la main, aux doigts fins semble s’éterniser à la limite des poils et de la peau, avant d’aller jouer avec leurs frisottis. « Putain, mais elle me fait quoi comme plan la bourge ? » Et comme dans une sorte de rêve, Victoria voit les doigts plonger vers l’intimité d’Hélène. « Mais elle va se branler, devant moi ! J’y crois pas ! » Bien qu’ayant été élevée dans un pensionnat de bonnes sœurs où l’impudicité et les attouchements entre filles étaient courants et usuels, jamais elle n’avait encore vu de femme de l’âge d’Hélène, s’exciter de la sorte et se donner en spectacle à une étrangère. Elle n’est pas choquée, Victoria, plutôt surprise. Mais après tout, si c’est son bon plaisir. Elle, elle n’a rien contre cette scène d’autant qu’elle sent une douce moiteur envahir son bas ventre, humecter son sexe. Entre les lèvres de son sexe qui s’humidifient, elle sent même poindre son clitoris qui se développe et prend ses aises. Elle irait même le toucher si elle aussi osait. Mais pour l’instant, elle reste les yeux braqués sur la main d’Hélène et les doigts qui caressent son ventre, sans risquer de bouger ne sachant pas où son hôtesse voulait en venir ni à quel jeu elle semblait vouloir jouer. Hélène a fermé les yeux pour mieux savourer sa caresse. Face à ...
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