1. Plafond de verre


    Datte: 03/12/2017, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, Collègues / Travail vengeance, chantage, entreseins, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession,

    ... de mon mari. À côté de vous, c’est un nain. Elle se penche sur la mienne et commence à me sucer sans quitter celle d’Abdou. Quelques secondes où elle explore de sa langue et pose ses lèvres sur mon gland. — Il a du mal à bander… Elle abandonne ma queue une seconde pour faire cet aveu. Elle replonge, me gobe un peu plus. — Même quand il est dur, sa bite est petite, grosse, mais juste quelques centimètres…. Elle plonge vers Abdel. Elle le suce. — Quand il me prend, je le sens à peine… J’ai compris. Elle fait tout pour humilier son mari lorsqu’elle va lui faire voir la vidéo. Il n’y a pas de pire humiliation pour un homme que d’entendre cela alors que sa femme est à genoux devant deux belles queues qui ,sans être « exceptionnelles », sont dans la bonne moyenne de notre « famille ». Elle le suce. Avec la bourgeoise, il faisait trop sombre pour bien regarder. Là, la lumière est parfaite, peut-être un peu forte, mais calculée pour que les cameras conservent leur définition. Mine de rien, elle lui gobe une bonne moitié de la queue. Je me retiens pour appuyer sur la tête et voir jusqu’où elle pourrait aller. Mais elle se soulève laissant le mandrin gluant, tirant des filets de salive entre le gland et ses lèvres. — Je ne le sens bien que lorsqu’il m’encule. Et encore… Elle revient vers moi. Elle pousse mon mandrin contre mon ventre pour palper mes couilles, les soupesant, les léchant en essayant de les gober. — Ses couilles sont toutes flétries. Sa semence, c’est comme de l’eau. ...
    ... Pas comme la tienne, mon Chéri… C’est au tour d’Abdel. Mêmes caresses, même regard désormais vicieux avec un visage qui a perdu toute dignité, si ce n’est celle d’une femelle qui se dépense sans compter pour le plaisir de son amant. — Heureusement qu’il invite des copains. Avec eux, je n’ai pas besoin de simuler… S’il savait que j’en revois discrètement, il serait malade de jalousie. Je ne sais si c’est vrai, mais j’imagine la fureur de l’homme et je vais conseiller à Isabelle de ne pas montrer cette vidéo en tête à tête, mais dans un lieu public pour éviter une réaction violente. — On n’est pas là pour t’entendre parler de ton mari. Ferme ta bouche et garde ta salive pour nos bites ! Ma remarque lui plaît. Elle sourit. — C’est vrai. Pardon, mon Chéri. Elle se tait, mais repart de plus belle. Nos queues sont célébrées. Elle passe de l’une à l’autre. La salive pollue le sol, le canapé. — Suce-nous. On va juter dans ta gorge. Tu veux du foutre ! Tu vas en avoir. Et m’adressant à mon copain. — Tu peux y aller. Baise-lui la bouche. Abdel ne se le fait pas dire deux fois. Ses mains emprisonnent la tête d’Isabelle pour qu’elle le gobe encore plus. Elle a du mal. Elle tousse, crache. — Attends, on va s’y prendre autrement. Je les sépare. Une table est un peu plus loin. Je repousse les quelques bibelots. Je soulève la femelle comme une plume pour la faire asseoir, puis allonger. Je la pousse afin que sa tête soit tout au bord. Elle veut montrer à son mari qu’elle se livre aux pires ...
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