1. Plafond de verre


    Datte: 03/12/2017, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, Collègues / Travail vengeance, chantage, entreseins, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession,

    ... d’Isabelle dans le bureau du DRH. La maison est dans un quartier huppé. Deux blacks qui sonnent à une porte, cela se remarque. Mais la maîtresse de maison ouvre et salue ses deux visiteurs comme étant attendus par elle. Isabelle porte une robe simple. — Bonjour. Elle m’embrasse sur les lèvres. — Bonjour. Abdel, c’est bien cela ? Lui aussi a droit à un baiser. — Merci d’être venus. Je vais vous demander d’attendre une minute, le temps de mettre les caméras en route et de me changer. Une petite mise en scène pour, qui vous savez. Surtout, ne les cherchez pas du regard. Vous n’êtes pas censés savoir. D’accord.— D’accord… De nous deux, en écho. Quelques minutes et on entend : — Lucien, mon Chéri, viens me rejoindre. Je suis prête. Nous avançons. Elle est bien là, au milieu de ce salon chicos. Je me retiens de ne pas chercher les caméras, mais la présence d’Isabelle attire le regard. — Enfin ! Chez moi ! J’étais fatiguée de nos rendez-vous à la sauvette. Elle se précipite vers moi ! M’embrasse goulûment, frottant son corps au mien comme si c’était naturel. — Regarde, je me suis faite belle pour toi. Tu aimes ? Elle me dit, alors qu’elle fait un pas en arrière et tourne sur elle-même en une rotation torride. La petite robe est bien loin. Ce n’est plus l’Isabelle que je côtoie, stricte dans un tailleur ou une tenue neutre. C’est une autre. Nuisette transparente qui laisse les seins en arrière-plan. Porte-jarretelle et bas noirs. Petite culotte dont la surface des ficelles dépasse ...
    ... celle du triangle de devant. Une pute, voilà à quoi elle me fait penser. — Tu es déçu ? Ça ne fait pas assez salope ! Je n’ai pas eu beaucoup de temps avec Georges qui me surveille en permanence.— Mais non, c’est très bien. Tu es la plus belle salope que je connaisse.— Oh, voilà un joli compliment. Et se tournant vers mon copain. — Bonjour. Tu es Abdel ? Julien m’a parlé de toi. Il paraît que tu assures ! Elle se frotte à lui comme une chatte qui ronronne. Elle l’embrasse aussi. Elle le caresse. — Tu permets, mon Chéri, que je découvre ton cadeau, me dit-elle pendue au cou de mon copain. La salope a déjà commencé à détacher la chemise. Abdel, évidemment, se laisse faire. Il l’aide. Tous les deux semblent impatients. Je les comprends. Moi, je bande de ce scénario. — Oh qu’elle est belle ! dit la femelle en découvrant la queue de mon copain. Tiens, assieds-toi, je vais m’occuper de toi. À toi, mon Chéri. La garce minaude comme si nous étions amants depuis longtemps. Elle fait tout pour énerver son mari lorsqu’elle lui montrera cette vidéo. Pour lui, nous étions amants depuis longtemps, au travail, discrètement. Me voici nu. C’est la première fois qu’elle me voit ainsi, nu et en érection. J’apprécie le regard qu’elle jette sur ma bite et surtout sa main qui l’enveloppe alors qu’elle me lance. — Mets-toi à côté de ton copain. Je vais bien m’occuper de vous. À genoux devant nous, elle semble nous juger. Une bite dans chaque main. Elle nous caresse doucement. — Si vous voyiez la bite ...
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