Plafond de verre
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
Collègues / Travail
vengeance,
chantage,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
... Attends, je la balance un peu pour que tu puisses bien en profiter.Désolé, mais j’en ai trop envie. Elle n’est pas là que pour la représentation. Elle est pressée de…Putain que c’est bon. Je glisse dans de la crème. Ta femme se redresse sur les coudes. Elle aussi veut se voir baisée. Elle le voit. Elle le sent.— Oh, Chéri, que tu es dur ! Oui, prends-moi !Je ne sais pas si tu entends bien, mais ma bite chuinte dans la vulve de ta femme. Vulve ! Et si je lui faisais un bébé. Un beau bébé métissé qui serait ta honte pour la vie. Voilà une idée à creuser si tu lui refuses le divorce…Excuse-moi de ne plus te commenter, car… c’est si bon… Je glisse. Je tape. Mon ventre rebondit sur les fesses d’Isabelle. Elle s’est laissé retomber sur la table. Elle ne cesse de gémir, de parler, de m’encourager. Est-elle dans un rôle pour son mari ou dans son plaisir ? Qu’importe ! Elle se caresse. Ses tétons sont des pointes magnifiques qu’elle torture à plaisir. Je sens aussi sa main frotter ma queue alors qu’elle se caresse le clitoris. Oui, qu’importe : — C’est bon… Baise-moi… Remplis-moi avec ta grosse queue… Je suis une salope… Ce n’est pas mon mari qui… Ahhhhh ! Elle se cambre. Je suis dans des abysses. J’explore des lieux encore vierges. Moi aussi je viens. Nos jus se mélangent. Le clapotis est obscène, mais si bon… Coucou Georges, me revoilà. Je voulais te dire que ta femme est une belle salope. Que sans le savoir, en la faisant baiser par tes copains, tu l’as réveillée au point que tu ...
... n’imaginais pas. Et il lui faut deux « Quotas » bien noirs, bien jeunes, bien membrés pour la satisfaire. Elle est si chaude, si prometteuse que même pour des « Quotas » comme nous, nos bites doivent assurer. La mienne baigne dans ma semence, conservant toute sa vigueur. Deux belles bites bien dures… Une femelle salope qui veut humilier son mari… Je sais. Oui je sais comment… Je soulève Isabelle. Elle s’accroche à moi par ses jambes qui entourent mes hanches, par ses bras qui enlacent mon cou. Son visage est tout près du mien. La sueur, la salive, le foutre de mon copain en font un tableau obscène. Je pourrais l’embrasser, mais j’ai une répulsion de devoir goûter au sperme d’Abdel. Un mec de doit pas… Je ne l’ai jamais fait… Mais c’est elle, vicieuse parmi les vicieuses qui se colle à moi. Elle m’embrasse et je n’ose la repousser. La salope s’amuse à jouer de sa langue. Me voici complice de sa fellation. Oh, mon Georges, savais-tu que tu avais élevé une vipère en ton sein ! Pour un peu j’aurais presque une pensée de compassion pour toi, mari qui se croyait le maître, mais qui va se retrouver dépassé. Collée à moi, je la porte. Le canapé me reçoit et me voici avec Isabelle sur moi, cavalière dont je ne doute pas de la qualité de monteuse. Elle se redresse abandonnant mes lèvres chargées de l’odeur de foutre. Déjà elle se tortille sur mon mandrin, ondulant comme une danseuse du ventre. Son vagin me paraît vivant, caressant de mille bouches chaque parcelle de ma queue. Son trot ...