1. Plafond de verre


    Datte: 03/12/2017, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, Collègues / Travail vengeance, chantage, entreseins, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession,

    ... est une prise en main. Son galop, le signe d’une goulue. En appui sur ses bras, penchée sur moi, son ventre ondule, sa fente s’ouvre et se ferme, engloutissant ma bite pour mieux la relâcher. — C’est bon. Putain, que c’est bon ! Abdel regarde, le dard à l’horizontale. Il est comme moi et se souvient de notre expérience avec la bourgeoise. Elle ne voulait pas seulement se faire baiser par un black, mais aussi par deux en même temps. La main de mon copain appuie sur le dos de la cavalière. Elle se retrouve plaquée contre moi, d’autant que mes bras l’enveloppent. Elle cesse de bouger, tourne la tête derrière et ne peut que comprendre ce qui va lui arriver alors que mon copain lui lèche le cul. Avec la bourgeoise, dans la pénombre, cachée par un rideau, la sono en musique de fond à laquelle se joignait parfois le chahut des danseurs, notre trio se devait d’être efficace et rapide. D’ailleurs la femelle en rut qui nous avait « pécho » avait dirigé la possession. Mais dans ce salon, inondé de lumière, sous l’œil des caméras, tout est différent. Le visage d’Isabelle est en face du mien. Il est ravagé, porte la marque de ses premières jouissances, mais si expressif. Le regard qui croise le mien alors qu’elle comprend et que mon copain fait pointer son gland à la place de sa langue. Le pincement des lèvres lorsqu’il force l’anus, écartant le muscle que la nature a prévu pour un autre usage. Elle a avoué connaître la sodomie, au moins par son mari, mais après ce premier round, je ...
    ... suis persuadé que les invités de Georges ont eu le plaisir de pratiquer ce chemin. La bouche qui s’entrouvre alors que le mandrin avance. Moi aussi je le sens me pousser, ramper contre ma bite comme un serpent habile. Le souffle qui sort de ses lèvres ouvertes et expulse un « Ahhhh » alors que ses paupières se ferment. Elle semble figée alors que mon copain lui a enfilé tout son engin. Il s’est redressé et échange un clin d’œil avec moi. Redressé et cambré afin que la femelle ne se sente pas écrasée par le poids de son corps, mais que sa queue lui remplisse bien le cul. Elle revient à elle. On le sent à ses petits mouvements, légers ajustements autour de nos deux bâtons. Elle a peu de liberté, mais cela suffit pour donner à ses mouvements une excitation supplémentaire. — Jamais… Elle ouvre les yeux. — Ohhhh… vous êtes gros… vous me transpercez… Elle remonte un peu vers moi. — Oh, non… Ma bite est sortie. Aussitôt, elle la cherche d’une main pour la guider. — Oui… Elle trouve son rythme. Elle se baise sur nos queues. Elle souffle de ses efforts. Elle crie son plaisir et j’ai bien l’impression que ce n’est pas pour son mari, mais que ses jouissances l’emportent. Elle faiblit. Alors Abdel prend sa suite. Agrippé aux hanches, jouant des élastiques du porte-jarretelles, coup de reins après coup de reins, il bourre le cul de la femelle. Ses mouvements me branlent, délicieusement caché au plus profond du vagin. Isabelle s’est effondrée sur moi, son visage contre mon cou, sa bouche si ...