1. Plafond de verre


    Datte: 03/12/2017, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, Collègues / Travail vengeance, chantage, entreseins, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession,

    ... alors que c’est lui qui… Le salaud. L’ordure. Profiter de son poste pour… je savais que cela existait, mais tout de même ! La femme est décidée c’est évident. Elle est venue ici parfaitement consciente de ce qui l’attend. Elle fait la fière, mais on la sent troublée. — J’ai dit à mon mari que j’avais une réunion avec la direction et que je devais être présente pour défendre ma candidature.— Mais vous la défendez très bien.— Mais personne ne doit savoir. Personne dans la boîte et surtout pas mon mari. Cette remarque montre que la femme a pleinement conscience que ce rendez-vous n’est pas pour bavarder ou éclaircir certains points. Elle sait ce qui l’attend. « Le Georges » a manœuvré pour que l’initiative vienne d’elle. Sa tenue, sa présence à une heure tardive montrent qu’elle est « volontaire ». — Ne vous inquiétez pas. Moi, je suis une tombe et je ne parlerai pas non plus de vos rencontres dans la réserve avec le jeune stagiaire.— Mais… que… comment…— La surveillance vidéo. Vous vous souvenez de la circulaire. Des caméras partout…— Mais personne ne devait…— Moi si. Je vous ai vue. Charmante rencontre d’ailleurs. J’espère avoir les mêmes attentions que le petit jeune. Vous comprenez ? Le fumier. Non seulement il utilise sa fonction, mais en plus il détourne… Il n’a pu avoir le code que par sa femme. Mais quel jeu elle joue ? Un peu comme moi, mais moi c’est pour la bonne cause. Pas lui ! La femme n’est pas exempte de défaut, mais elle ne mérite pas, si ce n’est par son ...
    ... mari, de devoir être punie. « Le Georges » joue sur tous les tableaux, la carotte de la promotion, la punition d’avoir trompé son mari au travail. — Vous n’avez pas chaud avec cette robe ? Il entre dans le vif du sujet. Elle comprend et commence à défaire les boutons. — Doucement, je veux pouvoir découvrir. Tourne-toi aussi. Il découvre, bouton après bouton, le soutien-gorge en dentelle et puis la petite culotte assortie. La lingerie est assez sexy. La culotte n’est pas de ces culottes qui sont à la mode, mais étroite, et sans être un vrai string ficelle, est faite de deux triangles qui laissent les fesses bien visibles. La poitrine est imposante et le soutien-gorge a bien du mal à la retenir. Les lobes supérieurs ont envie de se sauver. Une tenue de séductrice. — Viens t’asseoir sur mon bureau. Georges repousse son fauteuil pour laisse la place à la femme. Elle est face à lui. — Enlève ta culotte. Elle s’exécute. — Tu t’es épilée, c’est bien, je n’aime pas les chattes poilues. Caresse-toi. Elle hésite. — Tu n’as qu’à penser au petit jeune qui t’enfile. Elle ne dit rien. Elle ferme les yeux. Elle hésite. Ses mouvements sont d’abord peu érotiques. Elle a du mal à se concentrer. On le voit à sa façon d’ouvrir les yeux de courts instants avant de les refermer pour chasser la triste réalité. George lui saisit les chevilles pour placer les pieds sur le meuble. La femme est ouverte à son regard, jambes pliées, cuisses largement ouvertes. — Les seins ! Petit à petit, elle donne ...
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