Plafond de verre
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
Collègues / Travail
vengeance,
chantage,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
... l’impression de plus s’investir. Terminés les frottements peu convaincants. Fini le silence. Les seins qu’elle a extraits de leur enveloppe pendent lourdement et les tétons sont de longues tiges de chair qu’elle maltraite. Elle gronde. On sent le plaisir. Le plaisir réel ou simulé. Mais s’il est simulé, alors l’actrice mérite un César. Georges, le regard fixé sur sa proie, a ouvert sa braguette et en a extrait un chibre en érection. Sa bite est courte, mais épaisse. Il se masturbe alors que la femme montre tous les symptômes d’un orgasme. Elle ouvre les yeux. Elle ne peut que voir la bite de Georges qui s’est reculé un peu. Leurs regards se croisent. Elle comprend et, sans demande de l’homme, vient s’agenouiller pour le prendre dans sa bouche. Un observateur qui arriverait seulement maintenant penserait surprendre un couple en train de baiser. Un homme et une femme sur leur lieu de travail. Les statistiques démontrent que c’est assez fréquent. Elle le suce. Sa bouche est déformée par la taille de l’engin, mais lorsque « Le Georges » l’aide de la main, elle le gobe jusqu’aux couilles. — Je savais bien que tu étais une cochonne. Ton mari ne doit pas s’embêter avec toi. À moins que tu réserves tes talents pour le travail, avec le petit stagiaire. J’ai bien vu que la dernière fois tu lui offrais ton cul. Salope. Putain. Elle ne réplique pas, d’ailleurs sa gorge est pleine. L’homme défait l’attache du soutien-gorge. Elle l’aide à l’enlever, sans abandonner sa bite. — Entre tes ...
... seins. Je vais jouir entre tes gros seins. Elle se relève un peu. Lui avance sur son fauteuil afin que sa bite soit bien accessible. Elle, dans un geste inattendu, mais qui montre une certaine expérience, laisse couler un filet de salive dans le sillon, créé alors qu’elle plaque ses seins l’un contre l’autre. Elle se penche et la bite disparaît dans une vallée de délice et de douceur. Voilà une chose que je n’ai jamais faite. Éjaculer dans une gorge vorace, une chatte accueillante, voire un cul serré, mais jamais ainsi dans ce qui paraît le plus doux des écrins. C’est elle qui bouge sa poitrine pour branler la bite. Par moment le gland réapparaît du sillon. Cela dure encore quelques secondes et puis « Le Georges » jouit. — Putain que c’est bon ! Plus tendre qu’une chatte. C’est bon ! Encore quelques mouvements et maintenant lorsque le gland paraît, il entraîne avec lui son foutre qui lui fait une enveloppe grasse et gluante. Le sillon des seins est souillé de la jouissance de l’homme. Mais la bite paraît encore bien raide libérée de ce carcan de chair. Il n’a pas débandé. Il sort d’un tiroir de son bureau un préservatif qu’il donne sans un mot. La femme le déchire et le déroule sur la queue polluée, toujours aussi courte, toujours aussi grosse. Le latex fait encore un bourrelet vers la base de la hampe. Sur moi, il faut le dérouler totalement pour bien m’envelopper. — Mets-toi sur le bureau. La femme se relève. — Attends. Ne va pas me tacher le cuir. Il sort une serviette ...