1. Plafond de verre


    Datte: 03/12/2017, Catégories: fh, fhh, fplusag, couleurs, Collègues / Travail vengeance, chantage, entreseins, Oral préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession,

    ... il se garde des souvenirs de ses exactions. Un moyen de garder la pression sur ses « conquêtes » ou juste l’envie de visionner pour le plaisir. Il glisse la carte dans son ordi. Il va enregistrer le fichier. Sur son écran apparaît un rectangle avec demande mot de passe. J’essaie de suivre ses doigts sur le clavier « I.a..l.e2000* » Autant les chiffes étaient visibles sur le pavé numérique autant les lettres parfois cachées par une main, moins certaines. Mais il est comme les autres. Il se croit malin. Le prénom de sa femme. Juste avec I majuscule pour remplir les conditions d’un mot de passe : « Isabelle2000* » Et si avec ce mot de passe j’allais voir… Deux jours plus tard, j’ai été regarder. Non seulement j’ai regardé, mais j’ai fait une copie. Tout y est pour pouvoir le confondre. Il a enregistré chacune de ses « réunions ». Son dossier est très bien tenu. Fichier avec nom et date. Je reconnais certaines personnes. Mon idée est de faire passer quelques preuves discrètement à la direction. Ainsi sans me dévoiler, la direction serait obligée de réagir, surtout si je menace de faire circuler l’info en cas de non-réaction de leur part. Mais j’ai des scrupules. C’est mettre certaines « élues » et même « un élu » dans l’œil du cyclone. Je décide d’en parler à ma chef de service. C’est autant à une responsable qu’à la femme que je compte demander conseil. — Je voudrais vous montrer quelque chose. Je lui demande en la croisant dans un couloir. Isabelle est toujours souriante, du ...
    ... moins avec moi. Elle m’a pris sous son aile. J’ai beaucoup appris et je sais, elle me l’a dit, qu’elle me donnerait une lettre soulignant mon travail et mon implication pour un futur employeur. — Bien sûr. Lucien (mes parents, pour combattre la ségrégation diffuse, m’ont donné un prénom bien français). Allons dans mon bureau.— C’est-à-dire que c’est très confidentiel et avec les caméras… On pourrait se retrouver au café en face, après le travail. Tout au fond, ils ont un coin un peu isolé.— Oh. Un rendez-vous secret. Elle plaisante. — Vers 19 h, si tu veux. Malgré, son statut dans la boîte, la dizaine d’années qui nous séparent et son état de femme mariée, nos relations sont familières. Elle me tutoie et me charrie. Je la vouvoie, mais me permets quelques plaisanteries. Mais elle déchante ! Pour l’instant je ne lui ai montré que la vidéo que j’ai prise. — Qu’est-ce que tu vas en faire ?— Vous ne paraissez pas surprise.— Je m’en doutais.— Et personne ne réagit ! Vous ne faites rien ! C’est votre mari ! Vous trouvez ça normal ?— Non, bien sûr que non, mais c’est compliqué.— Justement si moi je transmets ça à la direction, ils vont le sacquer. Merde, il profite de son statut.— Si tu fais cela, tu vas déclencher un cataclysme. Toutes les promotions et embauches antérieures vont être soupçonnées. Tu imagines ? Et les personnes qui ont cédé à ses demandes vont être connues. Cela va être la honte. Leurs collègues ! Leur famille !— Je sais, c’est ce qui me retient.— Réfléchis. Même ...
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