Plafond de verre
Datte: 03/12/2017,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couleurs,
Collègues / Travail
vengeance,
chantage,
entreseins,
Oral
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
... qu’elle étale. Elle a compris qu’il veut qu’elle s’allonge sur le ventre. Pas un mot pendant qu’elle se place. Pas un mot, alors que lui, qui s’est relevé, se positionne entre les deux cuisses et guide son mandrin vers la chatte. Il entre en douceur. Je m’attendais à une possession de violeur, mais non. Déjà son ventre touche les fesses de la femme. Il l’a prend à son maximum. — Vous êtres gros. Allez doucement, s’il vous plaît. Mais cette demande est en contradiction avec les mouvements de la femme. Comme la plupart de ses congénères, en levrette ou debout, prises ainsi, elles se tortillent plus ou moins vicieusement afin de bien sentir ce qui vient de les posséder, comme si elles en testaient la taille, la dureté l’angle. Elle se force à simuler ou c’est naturel ? — T’inquiète, je ne suis pas une brute. Il se sert de ses larges hanches pour s’accrocher et commence à la baiser. D’abord tout doucement et puis en accélérant. — Ça va, ce n’est pas trop fort. Tu aimes ?— Non, c’est bon. Vous êtes bien gros. Je vous sens bien. Une proie, cette femme est-elle vraiment une proie ou bien juste une femelle qui vient se faire baiser par un collègue. Une femme consentante ! Mais non, elle est bien ici par la volonté de cet homme, soumise à lui pour une promotion, abus de pouvoir caractérisé par supérieur hiérarchique. Pourtant, maintenant elle présente tous les signes de la femelle heureuse de se faire baiser. « Le Georges » a abandonné la prise des hanches pour s’accrocher aux ...
... épaules et la tirer à lui dans un mouvement qui la fait cambrer un peu plus. J’accélère la vidéo. Il paraît infatigable. Chaque fois que je reviens en « normal », le couple exprime son plaisir. — Ah, ce cul. Après je vais t’enculer.— Oui, oui, tout ce que vous voulez, mais avant, continuez dans… Oh, oui, plus fort. C’est bon… Je trouve que cela sonne faux, mais l’homme ne doit pas le remarquer dans le feu de l’action. J’accélère. Enfin ils terminent. Pas d’enculade. « Le Georges » donne congé. J’écoute juste les dernières paroles. — Mon mari ne saura rien ?— Non, rassure-toi. Mais fais attention avec le stagiaire, un autre que moi pourrait regarder.— Oui, merci… Et pour la place ?— Tu viens de passer en tête. Encore quelques jours. Peut-être qu’il faudra qu’on se revoie.— Ah, vraiment.— Oui, tu te souviens que tu m’as promis ton petit cul ? Elle ne dit rien. Elle baisse les yeux. Cette remarque doit lui faire prendre conscience qu’en lui disant « Oui, oui » pour qu’il finisse plus vite, elle s’est mis la corde au cou. Elle ouvre la porte. — Il faudra me prévenir à l’avance. Je ne pourrai pas évoquer une autre réunion pour mon mari.— Tu as raison. Qu’est-ce que tu penses dans la réserve ? Je pourrais débrancher provisoirement la caméra. Cela te rappellerait des souvenirs.— Si vous voulez. La porte se referme sur elle. L’homme se lève et va attraper un appareil photo posé sur un meuble. Je comprends lorsqu’il retire la carte mémoire qu’il a filmé son « entretien ». L’enfoiré. En plus ...