La vie sexuelle de Sophie (1)
Datte: 04/12/2017,
Catégories:
Hétéro
Bonjour à tous ! Moi, c’est Sophie. Je vais vous raconter ici diverses expériences sexuelles que j’ai eues dans ma vie. Ce premier chapitre parle de mon dépucelage. Avant cette expérience, je n’avais jamais eu de relation sexuelle, mis à part une fellation pratiquée sur un petit copain des années auparavant. Je fais 1,58 m, mes cheveux sont bruns et mes yeux verts. Je suis assez mignonne à ce qu’on dit. Alors voilà, c’était il y a quelques années. J’étais allée avec mon meilleur ami chez une de ses amies que je ne connaissais pas pour faire une petite soirée entre nous, Je venais de me faire larguer, et mon meilleur ami avait largué son ex la semaine avant. Je vous le présente : Nicolas, 1 m et presque 70 cm, mince et un peu musclé, des yeux bleu-vert-gris et de beaux cheveux bruns. Il vient donc me chercher chez moi en moto et on va chez son amie. Nous arrivons devant une grande maison. Je descends, lui aussi, et nous nous engageons dans l’allée. Autour de nous, une grande pelouse avec plein de fleurs, une petite fontaine et un arbre avec une maison à oiseaux ; c’est un jardin magnifique. Nous sommes devant la porte. Nicolas sonne, et quelqu’un vient nous ouvrir. C’est une belle jeune fille, environ 1,65 m, cheveux bruns, yeux bleu-gris, bien bronzée. Elle nous fait la bise et nous fait entrer et on la suit à l’étage. Je l’observe ; elle est plutôt mignonne. Ah oui, j’ai oublié de vous le dire : je suis bisexuelle ; je suis sortie avec autant de garçons que de filles. ...
... Arrivés dans sa chambre, nous nous installons pour regarder un film en parlant de tout et de rien. Ensuite, vers minuit, l’amie de Nicolas nous propose de jouer à "action ou vérité". Étant adultes et pervers (surtout moi), on passe directement aux questions "hot" ; je me retrouve donc à parler de ma vie sexuelle. Au bout de cinq minutes, je dois avouer que je me masturbe souvent et que, oui, je regarde des films pornographiques. Nicolas pioche une carte : il doit m’embrasser dans le cou pendant 30 secondes. Je prends le chronomètre ; il s’approche de moi, pose ses mains sur mes hanches et me colle a lui. Lorsqu’il place ses lèvres sur mon cou et l’embrasse, je démarre le chrono. Dix secondes, ça fait du bien ; j’en rougis. Son amie me regarde en rigolant. Vingt secondes ; je suis toute chaude et je respire fort. Je dois me retenir de gémir ; elle me regarde en se mordant la lèvre. Je ne veux pas qu’il s’arrête, alors je stoppe le chrono sans qu’il le voie. Il continue de m’embrasser ; je ferme les yeux et me laisse aller, je gémis, je me frotte un peu sans m’en rendre compte. Il s’arrête. J’ouvre les yeux et je vois qu’il regarde le chrono. — Tu l’as arrêté ? — Oups, j’ai pas fait exprès. — Tu es une vraie perverse ! me dit-il en rigolant. Le jeu se poursuivant, après une bonne dizaine de minutes je me retrouve en culotte et en soutien-gorge, Nicolas juste en caleçon, et son amie en culotte et tee-shirt, sans soutien-gorge (on voit que les événements l’excitent un peu). Nicolas ...