1. La vie sexuelle de Sophie (1)


    Datte: 04/12/2017, Catégories: Hétéro

    ... pioche une autre carte ; il doit dégrafer mon soutien-gorge. Je me retrouve alors seins nus ; je me réfugie sous la couverture mais c’est maintenant à mon tour de piocher une carte : je dois mimer ma position favorite avec Nicolas. Je me retrouve donc à me faire porter par Nicolas, mes jambes autour de sa taille et mes seins nus contre son torse. Comme nous devons simuler une pénétration, il me soulève et me rabaisse plusieurs fois. Je sens qu’il bande, et ça frotte contre ma culotte ; à vrai dire, ça me fait du bien... Cela dure quelques secondes puis il s’arrête, me soulève pour me décoller de lui et regarde entre nous. — Mais tu mouilles ! dit-il en souriant. Je lui souris en rougissant, me recolle à lui et l’embrasse. D’abord surpris, il m’embrasse à son tour et je recommence à me frotter à lui ; je n’arrive pas à me contrôler, j’ai trop envie. Nous nous enlaçons ainsi pendant quelques minutes. Je l’embrasse et caresse son dos du bout de mes doigts pendant qu’il me malaxe doucement les fesses. Nous sommes interrompus par une exclamation : — C’est pas que je n’aime pas vous regarder vous chauffer, mais moi je m’ennuie ! Nicolas me dépose et on se remet à nos places avec un air gêné. Tour suivant ; son amie doit... caresser Nicolas sans ses mains. Ni une ni deux, elle se place contre lui, ses seins contre son torse, et elle se frotte de gauche à droite. Je vois qu’elle pointe ; même pas trente secondes plus tard, elle se retourne, colle ses fesses contre l’entrejambe de ...
    ... l’heureux élu et fait un petit mouvement de fessier assez comique : en effet, ce n’est pas facile de placer ce sexe entre ses fesses sans ses mains. Elle débute de petits va-et-vient, se frotte en me regardant et en se mordant la lèvre. Le minuteur sonne. Il est déjà tard, alors je propose d’aller nous coucher ; ils acceptent. À vrai dire, je ne veux pas vraiment dormir. J’espère que l’autre coquine s’endorme avant Nicolas, j’espère pouvoir... je ne sais pas ; au moins pouvoir nous chauffer encore un peu, peut-être pas jusqu’à baiser, mais au moins me faire du bien. J’attends une vingtaine de minutes, puis je me tourne vers l’amie de Nicolas : elle dort déjà. Rien à dire, elle est vraiment superbe. Comme son tee-shirt a glissé, je vois sa poitrine ; ses seins sont juste... Ah oui, c’est vrai : Nicolas ! Je me retourne et le regarde ; il ne dort pas. Il se tourne vers moi et me demande : ualuggsm — Ça va ? — Oh, que oui ! — Ah-ah ! Tu as l’air, en effet. — En parlant d’effet, tu m’en as fait tout à l’heure… Il me sourit. J’ajoute : — J’aurais voulu continuer, voire aller plus loin. Tu crois qu’on pourrait ? Il pose sa main sur ma joue et m’embrasse ; je pose mes deux mains sur ses pectoraux et me colle plus à lui. Il ouvre sa bouche et glisse sa langue sur la mienne... Ouf, divin ! Je suis tellement excitée... J’ouvre la bouche encore plus grand, je le dévore ; peut-être trop car il arrête le baiser, me regarde et dépose un baiser sur mes lèvres avant de me prendre dans ses bras. ...