Les bachelières (6)
Datte: 04/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
Samedi Ce matin, nous sommes tous réunis autour de la table pour le petit-déjeuner. Personne n’aborde le sujet de ce qu’il a fait hier soir et, donc, moi non plus. Ça semble naturel à chacun de baiser avec tout le monde et la conversation glisse plutôt sur nos révisions. — Alors, les filles, vous êtes prêtes pour le bac ? Les épreuves commencent bien lundi ? — Oui, oui, papa, il nous reste deux ou trois choses à peaufiner et nous serons fines prêtes. On va d’ailleurs vous flanquer à la porte aujourd’hui pour ne pas être distraites. Vous n’avez qu’à aller vous promener, il fait beau ! Nous restons donc seules toute la journée à repasser les derniers détails et sans penser à la bagatelle. Après-demain, c’est le grand jour et pas question de le louper. En fin de journée, les parents de Morgane rentrent de leur promenade. Comme ils sont allés au resto, ils n’ont plus faim mais Camille nous concocte un excellent dîner qui nous change des pizzas et hamburgers de ces derniers jours. A la fin du repas, Vincent décrète : — Bientôt, ce sera la rentrée pour tout le monde et il faut être en forme. Donc, au lit ! On se fait la bise et chacun regagne ses quartiers. C’est ma dernière nuit ici car demain je rentre chez ma mère. Je me mets au lit en repensant à toutes les découvertes que j’ai faites en une semaine et ça me donne chaud. J’ôte donc mon léger vêtement de nuit et, inévitablement, mes pensées couplées à ma nudité me mènent tout droit à me caresser. Et je me lance dans une ...
... agréable partie de masturbation. Je sens que je ne vais pas tarder à venir quand un léger bruit tout proche attire mon attention. Comme je n’ai pas coupé la lumière, je regarde autour de moi et je vois la poignée de la porte qui tourne tout doucement. Et, lorsque celle-ci s’ouvre complètement, c’est Vincent, entièrement nu et bandant à moitié, qui m’apparaît. Sa queue pend encore entre ses jambes mais je peux déjà me rendre compte que c’est un fameux morceau ! Il s’avance, un doigt sur les lèvres pour me faire signe d’être silencieuse puis referme derrière lui. Il a vraiment l’apparence d’une statue grecque, grand, les quatre membres très musclés, un torse glabre avec des tablettes de chocolat bien marquées, même son pubis est rasé mettant bien en évidence son sexe et ses testicules. — Bonsoir Mélanie. J’espère que je ne te choque pas en venant ainsi sans y être invité mais, entre ta beauté irrésistible et ce que m’ont raconté ma femme et mes enfants, je n’ai pas pu résister à l’envie de goûter, moi aussi, à ton corps. — Ne t’inquiète pas Vincent, plus rien ne me choque depuis que je suis arrivée ici ! Et pour tout te dire, ça me plaît. Tu es le dernier membre de ta famille avec qui je n’ai pas encore fait l’amour mais je crois que ça ne va plus tarder. Rassuré et même encouragé par mes paroles, il s’approche et se couche à côté de moi. Il pose ses mains sur mes seins et commence à les caresser. Puis, ses lèvres rencontrent les miennes et nous échangeons un baiser torride. Il prend ...