Les bachelières (6)
Datte: 04/12/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... chatte. Je couine de plaisir à sentir cette énorme colonne de chair brûlante explorer les moindres recoins de mon intimité. Il me prend par les fesses pour mieux m’attirer vers lui et je noue mes jambes autour de ses reins pour l’empêcher de sortir. Après quelques minutes, je suis cependant obligée de le lâcher car je fatigue et il en profite pour s’échapper. Je le sens alors poser son gland sur mon anus et commencer à pousser. — Non Vincent, je t’en prie, pas par là ! Je suis encore vierge du cul et, même si ça me tente, je crois que pour une première fois, tu es trop gros. Même Camille m’a dit qu’elle n’y arrivait pas avec toi. — Hélas, c’est vrai. Et tu as raison, je ne voudrais pas que tu aies une mauvaise première expérience qui te ferait renoncer à cette pratique. Car il te manquerait alors un grand côté jouissif dans ton expérience sexuelle. Là-dessus, il se couche sur le dos, son gourdin brandi vers le haut et me prend par la taille. — Viens sur moi et prends l’initiative. Enfonce-toi jusqu’où tu veux et choisis le rythme auquel tu veux baiser. Je me mets donc à califourchon au-dessus de ses hanches, face à lui, et m’empale d’un coup sur sa trique. Puis, à mon tour, j’entame la danse de l’amour. Il m’attire vers lui et m’embrasse tout en me pelotant les nichons. Nous baisons maintenant à la recherche de notre plaisir lorsque, tout doucement la porte s’ouvre à nouveau. C’est Pascal ! glegtx — Oh pardon, je ne savais pas que tu étais là, papa. Je viens de rentrer du ...
... boulot et j’avais une envie folle de baiser encore une fois avec Mélanie avant qu’elle ne retourne chez sa mère. Mais je vois que la place est déjà prise, je vais vous laisser. — Pas du tout, Pascal, entre. Mélanie vient de me dire qu’elle serait bien tentée par une première expérience anale mais que j’étais trop gros pour elle. Exactement comme ta mère ! Et puisque je sais que Camille se rattrape avec toi, fais-lui ce plaisir, encule-la pour sa première fois. — C’est vrai, Mélanie, tu en as envie ? Tu ne m’en as pourtant jamais parlé. — Oui Pascal, j’en ai envie. J’ai tellement découvert en huit jours que je m’en voudrais de ne pas être allée jusqu’au bout de mes fantasmes. Alors, vas-y, encule-moi, mais fais quand même attention ! Et toi, Vincent, reste bien où tu es, je veux sentir vos deux queues à la fois. Pascal, qui s’est déshabillé entre-temps, bande déjà comme un taureau à l’idée de ce qu’il va déguster : le cul vierge d’une petite métisse de 18 ans ! Il commence par introduire son index dans mon anus, ce qui ne pose pas de problème. Puis, il se met à tourner et à entrer et sortir. Au fur et à mesure que mon sphincter se détend, il accélère son mouvement et introduit un deuxième doigt. Lorsqu’il juge que le passage est suffisamment élargi, il prend mon flacon d’huile solaire qui traîne sur la table de nuit, s’en enduit la queue et la présente contre mon petit œillet. Vincent, pour me détendre, me caresse tendrement les seins et maintient un lent va-et-vient dans mon ...