Agréable voisine... (2)
Datte: 05/12/2017,
Catégories:
Transexuels
Je remontais dans mon appartement, épuisé et embrumé par les événements. Je posais le sac sur une étagère, retirais mon short et mon t-shirt, et me couchais en gardant la culotte. La sensation était agréable, au toucher, à la légèreté, c’était un régal. Je m’étais fait prendre à mon propre jeu par cette fille si malicieuse, mais je ne n’étais pas si perdant. Elle m’avait fait porter des vêtements soit disant réservés à l’autre genre, ça nous avait excités et j’avais vécu un de mes meilleurs rapports. Une érection renaissait face à cette pensée, mais le sommeil prit le dessus. La journée du lendemain fut longue, j’étais perdu dans mes pensées, tournées vers cette pièce de dentelle qui avait tout changé, vers Marie, et vers le sac. En rentrant le soir, je jetais ma veste et ma sacoche, et, n’y tenant plus, ouvrait ce cadeau. A vrai dire, je n’avais aucun doute sur le contenu. J’en sortis une culotte noire et violette, avec des empiècements de dentelle, que j’avais vu sur le séchoir, ainsi qu’une paire de bas autofixants noirs. Un mot accompagnait le tout : « Autorisé à porter sous un pantalon pour venir, mais incompatible avec les poils ». Je décidais de laisser couler une semaine avant de revenir à la charge. Le mercredi suivant, je pris ma décision : joueur mais pas trop, j’empoignais ma tondeuse pour faire tomber les poils de mes guibolles. Ne voulant partager ce secret qu’avec Marie, je préférais entretenir plus souvent et laisser une possibilité de repousse rapide, bien ...
... que nous allions sur des jours qui incitaient davantage à avoir les jambes couvertes. Une fois tondues à ras, mes jambes apparaissaient plus fines. Je retrouvais la douceur d’avant puberté, et c’était agréable. Je pris une douche assez rapide, puis, une fois sec, enfilais la nouvelle culotte, ainsi que les bas. Quelle sensation de douceur ! Regardant sous ma ceinture, je voyais une femme, ce qui eut pour effet de dresser mon pénis. Après m’être calmé, j’enfilais un pantalon afin de rester discret, puis un t-shirt avant de demander à ma conquête si elle était présente chez elle. « Je t’attends » fut sa réponse. Je descendis l’étage dans un mélange d’excitation et d’anxiété. Me réservait-elle d’autres surprises, allions nous recommencer comme l’autre fois, tout se bousculait dans ma tête. Elle m’ouvrit, vêtue d’une jupe blanche, au-dessus des genoux, et d’un top noir avec une bande de fleurs en dentelle blanche descendant de son épaule droite à sa hanche gauche. Un voilage couvrait ses interminables jambes, jusqu’à des ballerines toutes simples ornées elles aussi d’une fleur blanche. Elle était parfaitement désirable. Je l’accueillais dans mes bras, ce qui me paraissait le plus naturel à faire, et nous nous embrassâmes longuement, tout en parcourant son corps de caresses et de flatteries. Instinctivement, elle me sauta dans les bras, et j’avançais jusqu’à sa banquette, la coucha dessus et releva sa jupe. Comme je m’y attendais, elle ne portait pas de culotte, mais le voilage de ...