Agréable voisine... (2)
Datte: 05/12/2017,
Catégories:
Transexuels
... préoccuper, son esprit étant tourné vers nos ébats. Un soir, alors que nous sortions de sa douche, son téléphone sonna et le nom de Cédric apparu. Elle voulut mettre le haut-parleur, mais je préférais qu’elle règle son affaire elle-même, sans que j’interfère : j’en avais déjà trop fait. En résumé, il appelait pour dire qu’il ne rentrerait pas, et qu’il laissait les affaires, qu’elle faisait ce qu’elle en voulait. Sans chercher à bluffer, elle lui expliqua qu’elle n’était absolument pas surprise et qu’elle s’était fait une raison. La porte m’était ouverte, et nous avons officialisé notre relation. Le temps passait, nos jeux intimes continuaient sans pour autant tomber dans la routine, et cela me plaisait de plus en plus. Nous avions fait le nécessaire pour se passer de plastique lors de nos ébat ce qui les rendait encore plus intenses. Elle finit par trier et vendre les dernières affaires de Cédric, et accepta que je passe des nuits complètes avec elle, une fois la page définitivement tournée. Un soir, après être rentré du boulot tôt malgré la nuit tombée, elle me proposa un nouveau jeu, que j’étais libre de refuser. Me disant que cela allait sans doute pimenter une soirée d’hiver, j’acceptais avec enthousiasme. Elle me fit entrer dans la chambre, puis déshabiller, et me conduit dans la salle de bain. Nous prime une douche, en gardant nos distances, puis elle se saisit d’un bandeau et masqua mes yeux. Elle fouilla quelque part, revint vers moi et je senti un rasoir parcourir ...
... mon corps. Au vu de la durée passée, aucune parcelle ne lui avait échappé. Nous sommes sortis de la douche, elle m’a donné un linge pour me sécher puis m’a ramené dans la chambre et m’installa sur le lit. Je l’entendais fouiller à droite à gauche, et elle commença à me passer des vêtements. Je senti une culotte en satin, que je n’avais pas encore essayé, mais avant de me la mettre, elle prit mon pénis pour le placer entre mes jambes, fit remonter les testicules, puis bloqua le tout avec ce qui semblait être du ruban adhésif médical, le tout dans la plus grande délicatesse et en me demandant si j’avais mal. Seules ses mains froides rendaient la tâche désagréable, mais elle m’expliqua que c’était pour retarder l’excitation. Le tout en place, elle remonta la culotte qui était très agréable au contact de ma peau nue. Elle me passa ensuite un collant, qui remonta jusqu’à mon nombril. Je l’entendis de nouveau fouiller, puis elle se plaça derrière moi, et mis plusieurs choses en place sur ma poitrine, avant de me passer un soutien-gorge. Je me doutais qu’il lui appartenait vu les proportions proches que nous avions, et je me réjouissais du choix de lingerie agréable qu’elle faisait. Elle me fit passer ce que je crus être un t-shirt, mais qui descendit jusqu’à mon genou : une robe, assez proche du corps. Je compris pourquoi elle avait caché mon pénis, et je me réjouissais de ne pas être obèse. Elle me fit assoir sur un tabouret, je devinais être devant sa coiffeuse, et me doutais de ...