1. Les récits de Sandie - N° 7.


    Datte: 06/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    -- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS -- Me Prostituer (Suite). Le dressage de Sandie. Il faisait presque complètement nuit dans ce couloir étroit, tout juste éclairé par une ampoule nue qui dispensait une lumière jaunâtre. Ce n’était pas fait pour me rassurer mais d’un autre côté, je faisais confiance à Cathie… Quand Jean-Paul poussa la porte qui s’ouvrit dans un grincement lugubre, je n’ai pas pu m’empêcher de trembler. J’ai senti ma gorge se nouer et mes jambes ont manqué de se dérober sous moi ! L’ordre a claqué sèchement : - Entre ! Dans l’obscurité de la chambre, je fis deux pas en avant et m’arrêtai net. Jean-Paul alluma la lumière Oh une lumière bien pauvre, une simple ampoule nue au bout d’un fil qui diffusait une clarté lunaire éclairant difficilement le papier peint passablement défraichi d’une couleur indéfinissable qui avait du être rouge ou mauve… Il y avait là, au milieu de la pièce, un lit métallique étroit avec des sangles de cuir attachées aux angles et un matelas ressemblant plutôt à une mauvaise paillasse, une croix de Saint-André en bois, un miroir contre un mur, une sorte de cheval d’arçon et aussi une table avec dessus deux cravaches et un fouet. Sur une chaise il y avait deux paires de menottes, des baillons et bien sûr aussi quelque vibromasseurs ou godemichés de différentes tailles et grosseurs. Une chaine avec un anneau et des lanières pendait depuis le plafond. J’avoue qu’à ce moment, je commençais à être quelque peu inquiète : - Maître ! ...
    ... Qu’allez-vous me faire ? - Te dresser ma belle ! Faire de toi une catin soumise ! Allez ! à poil ! Et vite ! Je me suis empressée d’obéir, enlevant rapidement les quelques vêtements que je portais avant d’aller m’appuyer au pied du lit dans une pose provocante, le ventre tendu en avant, le corps déhanché et la bouche entrouverte où je dardais ma langue entre les lèvres. Jean-Paul a passé autour de mon cou un collier de chien et tenant la laisse dans sa main gauche, il m’a asséné deux claques sur les fesses en m’ordonnant : - A genoux ! Les mains dans le dos et regarde toi dans la glace ! Je vais te dresser comme une chienne. C’est le début ! tu dois obéir comme si tu étais une CHIENNE. - Bien Maître ! J’obéirai ! Jean-Paul s’est assis sur la chaise qui a craqué d’une manière sinistre sous son poids. Il a allumé une cigarette dont il m’a soufflé la fumée dans les yeux. Il m’a alors expliqué qu’il m’a achetée à Alain qui m’avait découverte par l’intermédiaire de Roger, son ami de Lyon. Il m’a dit que désormais, je lui appartenais, que je faisais partie de son écurie… Bref je ne comprenais pas bien ce que tout cela voulait dire d’autant que je me sentais fatiguée et que j’avais froid. Il a ajouté que je devais lui rapporter une certaine somme d’argent pour qu’il se paie sur la bête. J’ai fini par prendre peur pour de vrai et j’ai refusé de continuer ! Je lui ai dit que je ne voulais pas faire la pute ! J’avais simplement envie de me mettre dans la peau d’une prostituée pour une ...
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