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Les récits de Sandie - N° 7.
Datte: 06/12/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro
... longue cravache et un martinet au manche court et trapu en forme de sexe mâle avec de longues lanières en cuir multicolores qui était passé dans sa ceinture. Il faisait chaud dans cette pièce et si je tremblais encore un peu, c’est moins de froid que de crainte. Et j’avais raison de craindre ! Jean-Paul s’est placé face à moi et a fait remonter entre mes jambes écartées l’extrémité de la croupière munie d’une mouche. Il a agacé la plante des mes pieds, l’intérieur de me chevilles avant de gagner le creux arrière des genoux puis il l’a insinué entre mes cuisses et toujours en remontant, il l’a introduite entre les lèves de ma chatte en passant pour faire ouvrir ma fente. Cette douce caresse et l’ambiance feutrée de cette pièce ont ramené le calme dans mon cœur et dans mon corps. J’étais à peine apaisée que Jean-Paul s’est saisi du fouet pour l’asséner une trentaine de coups plus ou moins violents sur le haut des cuisses, le ventre et les seins. Pui il a posé ses instruments sur une table basse ou plusieurs gode de belles tailles et formes diverses. Il y avait même une poire à lavements avec son plat bassin, son broc relié à un long tuyau souple terminé par une canule en ivoire d’une belle taille. Je me demandais ce que cet instrument pouvait faire là. Mon Maître/amant a ensuite rangé ses instruments sur les panoplies et il est revenu vers moi, toujours attachée sur la croix de bois dont je sentais la dureté qui s’incrustait doucement dans ma chair. Puis, ce sont mes seins qui ...
... l’ont intéressé. Pas trop volumineux, plantés assez haut sur mon torse et en forme demi citron, j’en suis très fière. Je pense que ce sont mes origines exotiques qui leur donnent cette forme si particulière de même que le teint mat de ma peau et le noir de geai de mon abondante chevelure gaufrée. Il a trituré mes tétons sensibles pour les faillir saillir. Quand je suis excitée au plus haut point comme à ce moment-là, ils n’ont pas tardé à atteindre un bon centimètre et demi. Quand ils ont été à son goût, Jean-Paul s’est incliné vers mes seins pour y poser la bouche avec de venir les agacer entre ses lèvres qu’il referme alternativement sur l’un ou l’autre pour le mordiller plus ou moins fortement, provocant des frissons que connais trop bien ! Puis, il a posé des pinces en métal sur mes tétons et là, je ne vous dit pas quelle douleur a fulguré dans tout mon corps ! Je n’avais jamais vécu de relation sado masochiste. Tout ce que j’en connaissais, c’était d’avoir lu des articles dans des revues spécialisées. Que ce soit Jean mon mari ou Roger lorsque je l’ai rencontré à Lyon, ces deux hommes n’ont eu avec moi que des relations normales, sans violence ni artifice. Et là, je me prêtais pour la première fois aux caprices d’un homme qui avait payé pour me faire subir des supplices variés et divers et faire de moi SA CHOSE ! En moi-même je pensais que tout cela n’était pas bien terrible ! Les coups de fouet avaient laissé quelques traces rougeâtres sur ma peau qui me cuisait encore ...