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Et la tendresse bordel... (1)
Datte: 07/12/2017, Catégories: Divers,
... faisait d’elle une femme recherchée pour sa sensualité. Il est vrai qu’en plus la nature avait été assez généreuse avec elle, et que les mannequins ne lui enviaient... que quelques kilos de plus. De plus, et pas de superflu. Oui, elle aimait laisser trainer ses mains et ses lèvres, sa langue, sur un corps masculin, elle aimait ces verges dures comme du bois qu’elle sentait vibrer dans sa main sous ses baisers, elle aimait ces sexes que sa bouche caressait, elle aimait à recevoir au fond de sa gorge le plaisir d’un homme. Un plaisir qu’elle aimait aussi avaler. Tout comme elle aimait aussi beaucoup avoir en bouche les petites framboises d’une paire de seins. Et elle ne reculait jamais devant l’humidité d’une belle chatte débordante de cyprine ou l’érection féminine d’un clitoris bien dressé. En plus d’être d’une beauté légèrement supérieure à la normale, elle avait aussi beaucoup de goût pour choisir ses tenues, sachant tout de suite en rentrant dans un magasin, par instinct, ce qui saurait le mieux mettre son corps en valeur. Mais sans débordement, sans provocation, ayant tout simplement ce que l’on peut appeler « de la classe » ! Et si elle savait qu’elle était bien faite -et s’en servait parfois- cela était toujours fait sans arrière-pensée, sans forfanterie. Simplement un réel plaisir d’être bien dans sa peau. Bref, une femme libérée... ce qui ne veut surtout pas dire une femme facile, une femme légère. Elle aimait l’amour, certes, elle aimait être prise, mais pas par ...
... n’importe qui, pas à n’importe quel prix. Elle choisissait elle-même ses amants ou ses amantes, étant assez pointilleuse et ayant des critères de sélection bien définis. Ce qui ne veut pas dire qu’elle baisait comme Marie-Chantal, avec le petit doigt en l’air et avec des cris de dinde effarouchée... Mais revenons à son attrait pour la littérature. Elle avait quelque peu laissé tomber la poésie, pour écrire des nouvelles, ne voulant pas se lancer dans la rédaction d’un long roman. Et comme sa vie, assez mouvementée, était pour elle une grande source d’inspiration, ses nouvelles étaient le plus souvent de belles histoires érotiques. Des histoires érotiques empreintes de beaucoup de poésie, de beaucoup de tendresse et de sentiments. Mais elle écrivait avant tout pour elle, sachant parfaitement bien que, si elle écrivait vite, beaucoup, et que les idées ne lui manquaient jamais, elle n’avait pas assez de talent pour être publiée. Cependant, désirant quand même savoir ce que l’on pouvait penser de ce qu’elle écrivait, elle cherchait à faire connaître ses écrits. Ce fut d’abord auprès de sa famille, auprès de ses amis. Mais au bout de quelque temps elle éprouva le besoin d’agrandir son auditoire. Et Internet lui offrit tout cela, par l’intermédiaire d’un site d’histoires érotiques. Un site qui lui permettait donc de mettre ses histoires en ligne, et de savoir ce que certains de ses lecteurs en pensaient. Malheureusement, sur ce plan, il faut bien reconnaître que les échanges étaient ...