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Agnès
Datte: 08/12/2017, Catégories: fh, ff, fhh, jeunes, extracon, vacances, fsoumise, vengeance, contrainte, Oral pénétratio, fsodo, policier,
... trente-cinq ans environ… non tu te trompes, y en a qui aiment les bourgeoises classieuses… ça les excite plus qu’une petite pute ukrainienne de vingt ans… C’est fini. Il raccroche et sort de la chambre. Et moi aussi je commence à passer des coups de fil. Le premier à mon meilleur copain, un copain de promo qui a été muté à Marseille. Le second à mon patron pour lui demander mon vendredi. Et je saute dans ma voiture. Mes enregistrements bien conservés sur une clé USB. J’ai passé toute la journée dans le bureau de mon copain, un flic, comme moi. Nous avons été voir ensemble le procureur. Ils ont tout de suite reconnu le voisin sur les images, une crapule soi-disant retirée des affaires. Affaires de drogue certaines années, de prostitution d’autres fois. Visiblement il prépare sa retraite en mettant les bouchées doubles. Je leur apporte sur un plateau la tête de cet enfoiré. Je suis flic, un vrai flic, et pendant cet intermède j’ai presque oublié Agnès. Mais il faut bien leur dire pourquoi j’ai piégé ma propre maison. Il y a un moment de gêne. Je suis en train de briser ma propre carrière : l’épouse d’un commissaire de police impliquée dans un réseau de prostitution… Même divorcé, je serai marqué et je vais avoir droit à gérer les archives ou le personnel. Finies les belles missions. Mais je fais mon boulot parce que je suis comme ça. Mes collègues prévoient de surprendre la récupération du container le soir même. Alors que nous nous demandons s’il faut arrêter le salopard au ...
... même moment, Agnès m’appelle sur mon portable. Cette fois elle est plutôt tendre, mais c’est pour m’apprendre que le voisin nous invite à l’apéritif le soir même et que je dois être à l’heure. Je fais l’étonné : — Je croyais que tu ne l’aimais pas…— Finalement il est assez sympa, il m’a rendu des services… Il a envie de mieux te connaître… La conversation surprise la veille me revient en mémoire. Il a surtout envie de se débarrasser de moi. Agnès le sait-elle ? J’accepte et lui dis que je serai à l’heure. Et j’arrive à convaincre le procureur et mon ami de me laisser une heure. Pour eux, c’est une aubaine. Il sera occupé et ils pourront coincer ses complices. D’un autre côté je ne suis pas ici sur mon territoire, ce n’est pas très légal. Ils me conjurent d’éviter toute connerie qui pourrait faire capoter la procédure. Comme lui casser la gueule. Je suis donc ponctuel à la maison. Agnès est déjà prête, très nerveuse me semble-t-il. C’est peut-être pour cela qu’elle accepte mon baiser. Elle est habillée de façon voyante, une jupe très courte sur ses jolies jambes. Un décolleté profond. Rien qui lui ressemble. Et pourtant je la trouve très belle. Moi aussi je suis nerveux, j’ai une heure pour récupérer mon amour avant que l’autre con se fasse coffrer. Nous sonnons à la porte du voisin qui nous ouvre presqu’immédiatement. Une caricature. Une grosse chaîne en or sur un poitrail largement ouvert. Une gourmette qui doit bien peser son kilo d’or. Il pue le maquereau mais visiblement ...