1. Colonie de vacances (1)


    Datte: 08/12/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... quatre pattes et ramener dans ma bouche à leurs pieds. Si je n’étais pas assez rapide, des branches d’orties me motivaient à faire mieux la prochaine fois. J’avais perdu depuis bien longtemps toute fierté. J’étais perdu dans un le plaisir de la soumission, acceptant les humiliations et rabaissements. Je n’avais même plus besoin que l’on me demande d’aboyer, je le faisais de moi-même. Mais alors que je revenais fièrement avec mon bâton dans la bouche auprès de mes maîtres, on tomba nez à nez avec deux filles, Tiphanie et Coralie. Elles restèrent bouche bée un bon moment. J’ai toujours été plus proche des filles, avec bien plus d’amies que de copains. Hélas, ces deux-là ne faisaient pas partie de celles que j’appréciais. La réciproque était tout aussi vraie. Paul et Alban s’empressèrent de les rassurer et de leur faire promettre le secret, mais c’est Hugo qui eut l’idée de les rendre complices. — Si vous voulez, il peut vous nettoyer vos chaussures de marche, comme ça pas besoin de le faire vous-même avant de rentrer dans le bâtiment. — Euh... Ouais, OK. — Mais il fait comment ? Il va pas utiliser ces vêtements quand même ? Les monos grilleraient tout de suite. — T’inquiète, il va lécher. — Quoi ? Sérieux ? — Oui, oui, t’inquiète c’est un vrai soumis. Regarde. Hé Benoit au pied ! Viens nettoyer les chaussures des filles. J’aboyais, provoquant l’hilarité générale et me mis à nettoyer les chaussures pleines de poussières et de terres avec me langue. L’expression estomaquée des ...
    ... filles fut vite remplacée par des rires nerveux, puis beaucoup plus francs. — Nan mais j’y crois pas ! — C’est vraiment un soumis, s’extasia Tiphanie, il a pas d’honneur ! Tiens, nettoie la semelle de celle-ci. Je m’empressais d’obéir et passais ma langue entre les crampons. Un goût puissant et atroce m’attaqua la bouche. — Surprise ! J’ai marché dans une crotte de cheval sur le chemin. — Tu avales tout, me prévint Karim. C’est avec dégoût que je sombrais dans la déchéance et fis de mon mieux pour satisfaire mes maîtres. — Ouvre la bouche clébard, m’ordonna d’un ton impérieux Tiphanie. Tiens, cadeau. Elle me cracha dans la bouche sous les hourras des garçons. ******* Le reste du camp se déroula sans que je ne voie le temps passer. Comme convenu, je portais ma couche tout le temps, sauf pour faire la grosse commission. Je devais alors aller aux toilettes accompagné et on vérifiait bien que je fasse pipi dans ma couche malgré tout. La seule fois où je manquai à la règle par mégarde, on me le fit payer cher : celui qui me surveillait alors se soulagea directement dans ma couche avant que je la remette, encore chaude d’un autre. Je ne passais plus mon temps libre dans la chambre commune dans mon lit à lire mon livre, mais à quatre pattes et en laisse aux pieds du dernier vainqueur de la partie de cartes, avec pour mission de faire briller ses chaussures. La laisse et le collier disparaissaient à chaque fois qu’un moniteur inspectait la chambre, mais revenaient magiquement sous ...
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